COPAINS D’AVANT
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds
... me laissa quelques minutes afin de reprendre mes esprits, et après m’avoir retiré mon pull blanc, me repositionna à quatre pattes afin de me pénétrer en levrette. Il me baisa enfin, poussant son sexe en moi, me prenant par la croupe, bien accroché à ma jupe retroussée. Je ne pouvais plus réagir, me laissant faire, comme une poupée de chair. Jamais je n’aurais pu imaginer cet homme qui approchait les 60 ans avoir cette endurance. Il était passé d’un amant exceptionnel à un animal de sexe. Il me laboura encore et encore, multipliant les positions et ne me laissant aucun répit. Ses mains s’accrochaient à mes gros seins me palpant fermement alors que son membre coulissait en moi. Je jouissais une fois de plus, sentant qu’il arrivait lui aussi au point de non-retour. Il essaya de reprendre le contrôle baissant la cadence de ses coups de reins, alors que je continuais à remuer mes grosses fesses toujours possédées par sa bitte. Il se vida enfin en moi et je sentais son sperme chaud se répandre entre mes cuisses.
- Ohhhhhhh Salope tu m’as eu, prends mon foutre ma belle !!!!!!!!
Il était 15H30, je venais de me faire baiser pendant plus d’une heure et demi. On s’écroulait tous les deux, sur le lit, s’assoupissant épuisés par l’effort intense de nos ébats. Je repris mes esprits 30 minutes plus tard, me rendant à la salle de bain afin de me rhabiller et de faire un semblant de toilette. De retour dans la chambre, je m’approchais de Thierry pour l’embrasser avant de partir déjà ...
... très en retard.
- Tu reviens bientôt ?
- Oui, je vais voir ce que je peux faire, mais je devrais pouvoir m’arranger.
Je pris mes affaires, me dirigeant vers la porte, et alors que je ramassais mon manteau toujours sur le sol, je sentis la présence de Thierry derrière moi, qui me saisit par les hanches et me poussa vers la porte.
- Je crois qu’avant que tu partes, j’ai encore une chose à terminer.
- Ohhhh, Thierry, je n’ai vraiment pas le temps, je suis terriblement en retard. En plus, je dois récupérer ma voiture dans le parking du centre-ville.
- Chut, beauté, tu ne partiras pas d’ici avant de m’avoir donné ce que j’attends depuis si longtemps.
- Non Thierry, je sais à quoi tu penses et tu sais que je ne veux pas.
- Je ne me souviens pas de t’avoir demandé ton avis salope. Tu viens ici pour te faire baiser dans tes habits de bourgeoises et fleureter avec un mec de la haute, et tu crois que tu vas échapper à ma bite dans ton gros cul !!!!
Le ton avait changé, il avait pris une posture dominante, me poussant contre la porte et retroussant à nouveau ma jupe Vichy avec autorité, libérant mes grosses fesses juste protégées par la lanière de mon string noir. Il baissa à nouveau ma culotte à mi-cuisse, tout en me tenant la tête collée à la porte de la chambre alors que je sentais sa main se poser entre mes fesses. J’essayais de résister pour la forme, mais je savais que je ne pouvais échapper à sa volonté de vouloir me sodomiser. Son doigt pénétra dans mon ...