1. Jane... ou John ? (2)


    Datte: 18/12/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... ce n’était pas chouette, tu as de la chance de me voir ainsi... Hier l’urologue était très satisfait du résultat et m’a annoncé que je pouvais commencer à avoir des rapports.
    
    — ...
    
    — John... Je suis vierge... Je sais que tu es sensible et attentionné... Avec Jade nous en avons beaucoup parlé.
    
    — ...
    
    — Je suis à toi !
    
    La jeune femme nue, allongée sur le dos et les jambes jointes, me regarde avec intensité et sérieux :
    
    — Viens, embrasse-moi, fais-moi l’amour !
    
    Je me sens presque gêné, je me couche à son côté et l’embrasse. Son baiser ardent m’encourage, d’une main je caresse longuement sa poitrine, descends sur son ventre et rencontre sa main. C’est elle qui me conduit à son pubis, les cuisses s’ouvrent, mon doigt, le majeur glisse entre-elles et couvre la fente sur toute la longueur. Eve s’écarte de ma bouche, tout en souriant :
    
    — Viens me découvrir.
    
    Je me déplace vers ses cuisses, ma bouche tète une fois encore le mamelon, parcourt le ventre et plonge sur le pubis. Les cuisses s’écartent, pivotent sur l’extérieur, découvrent le fruit du jardin d’Éden... Je l’embrasse du bout des lèvres avant que ma langue ne le touche. Mes mains sur ses hanches, mes pouces ouvre l’abricot fendu et dégagent le clito :
    
    — C’est impressionnant de réalisme, une vraie vulve avec un bourgeon... très gros.
    
    — Oui le clitoris a été construit à partir du gland et je l’ai voulu particulièrement développé... en opposition à ma p’tite bite !... (ensemble nous ...
    ... rigolons)
    
    La plaisanterie me donne confiance, de la pointe de langue je titille le bouton et lèche sa courte tige.
    
    — Oooooh ! John, c’est hyper-sensible, doucement.
    
    Je glisse sur les lèvres et m’enfonce entre les deux toute petites fesses serrées, c’est ma langue la première qui touche le puits d’amour. J’écarte le fruit et trouve l’ouverture allongée de 2 -3 centimètres qui n’est pas très humide, comment le pourrait-elle ? J’y apporte une solution en déversant abondamment ma salive et léchant l’orifice. Eve participe en gémissant et lançant son ventre à ma bouche... je pointe mon doigt couvert de salive à l’entrée du vagin, il glisse sans difficulté dans le puits.
    
    — Ton fourreau est tout doux !
    
    — Comme une femme ?
    
    — Moins humide.
    
    — Ben oui... c’est normal.
    
    J’embrasse à nouveau la vulve, je passe du bourgeon rouge carmin aux petites lèvres rosées, je suis impressionné par la similitude à une vraie chatte. Le clito est particulier en taille et en sensibilité. Depuis plus d’un quart d’heure je découvre ce sexe, baisers, coups de langue, suçons se succèdent en rivalisant de douceur.
    
    Eve commence à m’accompagner d’un mouvement de bassin rythmé :
    
    — Viens John !
    
    Elle relève ses genoux ouvre ses cuisses, le fruit m’est offert, il est étrangement de la même couleur que la coupe sur lequel il est posé, un sexe de vierge sa carnation s’assombrira avec le temps. La vulve s’ouvre à peine, je me place entre les cuisses, je bande dur, appuyé sur un coude, je tiens ma ...
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