Amour et soumissions (1)
Datte: 17/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: mastered, Source: Xstory
... alternativement, le vieux Gérard nous surprimes. Le pâturage où nous étions lui appartenait, sa maison n’était pas très loin. Un peu paniqué, nous étions sur le point de nous enfuir quand il nous dit de nous détendre, qu’il n’y avait pas de mal et que jeunesse devait bien se faire. Cependant, nos ébats furent tout de même interrompus.
Le vieux Gérard ordonna à ma voisine :
— Toi ! Viens avec moi dans la maison. Laisse tes fringues ici, t’en auras pas d’besoin » Ajouta-t-il en la voyant saisir ses habits.
Il nous fit un clin d’œil en partant. Nous comprenions très bien ce qui allait suivre pour elle. Cela ne nous provoquait que peu d’émoi. Une fois seuls et sur notre faim tout de même, mon ami me proposa de me finir avec sa bouche. Toujours nu, j’acceptai volontiers. Nous avions passé le reste de l’après-midi ainsi, l’un contre l’autre à profiter du soleil. Nous nous caressions et nous nous embrassions. Nous étions simplement bien. Qu’il fût un garçon m’était complètement égal. Je profitais de ce corps qui m’était offert. Il me masturba une dernière fois avant notre départ. Ce fut notre seule expérience ensemble. J’appris il y a quelques années qu’il était marié avec un homme et qu’ils comptaient adopter un enfant. Nous ne revîmes ma voisine que le lendemain.
Vous l’avez compris par cette belle anecdote que cette dernière se laissait toucher par qui le voulait. Il n’était pas rare qu’en pleine discussion l’un d’entre nous l’emmenait dans un coin discret pour faire ...
... son affaire. Elle ne disait jamais rien, trop contente qu’on lui donne de l’attention. Juste de faibles gémissements pendant l’acte se faisaient entendre par instants. Prenait-elle du plaisir ? J’en doute encore aujourd’hui, du moins pas avec nous qui étions trop peu expérimentés. À chaque fois qu’elle était utilisée, elle revenait toujours vers moi. Je ne le comprenais pas à l’époque, mais c’était parce que j’étais le seul à lui donner un tant soit peu d’affection. Souvent, je la prenais dans mes bras ou lui parlais comme une personne normale, douée d’intelligence. Sans m’en rendre compte, je la rendais soumise et la marquais dans notre petit groupe comme étant ma propriété. Si je refusais qu’elle s’occupe d’un membre de la clique, elle n’y allait pas et tous l’acceptaient.
Du fait qu’elle s’occupait de nous et des vieux du village, je considérais qu’elle méritait un peu de répit de temps à autre. Je me demandais si le père n’en profitait pas lui aussi. Dès que la mère partait de la maison, il lui ordonnait quasi systématiquement de rentrer au trot chez eux. Ce n’était qu’une hypothèse, mais je n’aurais pas été surpris vu l’homme. Ses bêtes avaient plus de valeur que sa femme et ses deux filles. Dans le doute, je me chargeais donc de lui donner un peu de repos. Quelque temps plus tard, de passage dans mon ancien village, en la croisant, j’appris qu’elle vivait toujours avec son père et que sa mère était décédée dans un accident de voiture. Elle me dit s’occuper de tout à ...