Tradition de famille (1) - Histoires de Sexe

Tradition de famille (1)

... trous, aucun n’a pu résister. Ils y sont tous passés, les uns après les autres, ils l’ont baisée par tous les trous et même en double pénétration. Le lendemain, il a tenté d’avoir des contacts plus intimes, la toucher, la caresser...

A la moindre occasion, lors d’un câlin, ou à sa sortie de la douche, il essayait d’en profiter. Mais à peine qu’il posât sa main sur son entrejambe, qu’elle retirait avec un sourire de salope.

Ça le privait de son délicieux trésor.

Cela le vexait. Il a tant envie qu’elle le laisse lui faire l’amour! L’amour qu’il avait pour elle justifiait bien qu’elle autorise un peu d’intimité avec elle ! Il était à la fois déçu et frustré.

Ainsi sa mère laissait tout le monde dans sa famille bénéficier de ses charmes, y compris son propre père et pas lui ??? Stephen était vraiment jaloux, il se dit peut-être qu’elle pense qu’il est trop jeune pour la sauter. Pourtant il était devenu un homme bien monté, il savait que s’il arrivait à lui faire goûter son gros membre, sa mère ne serait pas déçue. Alors le lendemain soir, Fanny était toute seule sur le canapé du salon à regarder la télévision. Il s’est placé derrière elle et a commencé à lui faire un massage des épaules.

— Tu masses très bien mon fils, tu es doué.

— Merci ...

... maman.

Puis il s’assit à côté d’elle et lui mit sa main sur son sein, elle le laisse faire, d’ailleurs ce n’est pas la première fois et ça ne la dérange pas. IL commence à lui titiller les tétons, son fils commence à sentir qu’elle tressaillit de plaisir. Puis il porte sa bouche sur le sein de sa mère et commença à le lécher.

— Tu veux me peloter ? Tu ne voudrais pas par hasard me masser le dos ?

— Si bien sûr.

Elle retira le haut de sa robe, son soutien-gorge, Stephen monte sur ses fesses et commence un long massage, des épaules, du haut des omoplates puis au niveau des reins et des bras. Puis décide de lui masser ses pieds, ses mollets et faire le haut de ses cuisses. Comme Fanny s’était endormie, il lui ouvre la fermeture de la jupe, il retire son string qu’elle porte et commence à lui toucher sa petite fente.

— Et chéri, arrête ça tout de suite, mais qu’est-ce qui te prend ?

Là c’était trop pour lui, il explose et dit à sa mère.

— Tu es une salope, alors pourquoi refuses-tu de baiser avec moi ?

— Mais ça va pas de me parler comme ça ?

— Tu baises avec toute la famille, alors pourquoi pas moi ?

— Qu’est-ce que tu racontes? Tu es malade !

— Maman, j’ai vu les vidéos.

Et il quitte la pièce. Cette fois, le choc était pour la mère de famille.