1. PASCALE SANS CULOTTE


    Datte: 16/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sokoto, Source: Hds

    ... la verge, puis dans le sillon, très délicatement. Ça a l’air d’aller, si j’en crois ses soupirs. Je continue des allées et venues, du gland à la base, en passant par les couilles, avec ma langue.
    
    Puis je gobe le gland, et enfonce dans ma bouche cette queue qui va bientôt me prendre, jusqu’au fond de ma gorge, je fais des va et viens en gorge profonde. Bientôt, je l’entends gémir à son tour doucement. Je continue les va et viens et la gorge profonde, tout en me déplaçant pour lui présenter ma croupe et notamment ma chatte palpitante. Il se met à lécher, laper, titiller clito, puis descend vers ma rondelle, la lèche, tente d’introduire la pointe de sa langue… du coup j’ai du mal à me concentrer, mais je garde la situation en main, en léchant sa queue comme un glace, en serrant la base et en caressant la paire de couilles de l’autre main. Je le sens vibrer, il est moins pressant sur mon arrière train, moins concentré peut-être ?. Je m’arrête avant d’atteindre le point de non retour, j’ai trop envie qu’il me prenne.
    
    Je me retourne, à califourchon sur lui, puis présente sa belle bite à ma chatte. Je m’assoie doucement, elle rentre progressivement, jusqu’au fond. Mmmhhh comme c’est bon. Je l’enserre en moi, puis commence à bouger. Je garde le contrôle de l’exquise pénétration, même s’il tente quelques mouvements. Je m’agite sur lui dans tous les sens.
    
    Après un moment, il nous fait basculer, sans sortir de moi, et je me retrouve sur le dos, toujours embrochée. Il passe ses ...
    ... deux bras sous mes cuisses et les relève. Je me retrouve les genoux à la hauteur de la tête, la chatte bien ouverte. Il se met à pilonner façon marteau piqueur, s’arrête, repart. Je n’ai plus aucun contrôle de rien. Me voilà dans mon bureau, à poil besognée activement par un homme… et j’aime ça !
    
    Je ne peux plus bouger du tout, je ne peux que sentir sa queue qui me défonce, me saillie. De temps en temps, il s’arrête à l’entrée, avec juste le gland en moi, puis repart, tantôt très lentement, profondément, tantôt très vite. Je couine en mesure. J’aime être défoncée comme ça. J’ai l’impression que sa queue va me traverser comme une broche.
    
    L’idée d’être baisée comme une salope dans mon bureau, d’être défoncée, démontée, saillie en couinant par un mâle puissant amplifie le plaisir.
    
    Chaque fois que la jouissance s’annonce, il s’arrête. Je ne cesse de monter vers le plaisir, et de redescendre ; un spécialiste des montagnes russes ?
    
    Et puis il s’arrête à nouveau, sort sa queue, recule, et me guide pour me faire mettre à 4 pattes. Il s’avance derrière moi. J’écarte un peu les cuisses, j’ai vraiment hâte qu’il me prenne à nouveau. Je sens son gland juste à l’entrée de ma petite grotte. Qu’est-ce qu’il attend ? Ses mains caressent mes hanches, mes seins, mon dos, ma bouche… je souffle un : « viens, prends moi » à son oreille. On a tout le temps me dit il. Je suis folle de désir. Il poursuit ses caresses. Ses doigts viennent caresser doucement clito, qui doit être tout dur. ...