1. Série insolite. Épisode 7 : « Valérie » La croisière s’amuse.


    Datte: 15/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Je m’appelle Valérie, je suis actuellement une veuve de 56 ans et je vais partager avec vous, sous la plume de l’auteur Cyp Perruche, ce que j’ai vécu il y a quelques temps. Je suis née en 1964, je me suis mariée à 21 ans avec Jean-Philippe avec lequel j’ai eu deux enfants. En 2015, suite à des examens poussés, les médecins découvrirent que mon mari avait une maladie rare et qu’il était condamné. Confrontée à cette maladie j’étais aux petits soins pour lui, il ne quittait son lit que pour son fauteuil. Le docteur lui rendait visite toutes les semaines, une infirmière et des aides-soignantes venaient tous les jours pour ses soins et sa toilette.
    
    Ce fut à cette époque que je fis la connaissance de l’infirmière à domicile. Sandrine était de son âge, étant une femme battue, elle avait divorcée depuis deux ans et avait des difficultés à se remettre avec un homme. J’étais devenue sa confidente et en quelques semaines, nous étions devenues de très bonnes amies. Elle venait certains soirs manger avec moi, cela nous faisait du bien, nous n’étions plus seules. Lors une discussion, Sandrine m’avoua qu’elle était en manque de sexe, j’étais exactement dans le même cas, j’adorais faire l’amour à Jean-Philippe que je n’avais jamais trompé et depuis qu’il était malade, j’étais dans une abstinence totale.
    
    Nous n’avions jamais testé l’amour lesbien, pourtant de fil en aiguille, nous nous étions données du plaisir, je n’avais pas l’impression d’être infidèle, car nous ne nous aimions pas ...
    ... d’amour, nous nous faisions du bien. Avec Sandrine nous ne nous considérions pas comme lesbiennes, néanmoins nous renouvelions l’expérience lorsque le besoin s’en faisait sentir. Nous jouissions tout de même toutes les deux, sous nos baisers, nos caresses et nos jouets. Pour mon plaisir solitaire, elle m’avait acheté un magnifique phallus en silicone qui vibrait, ce qui me donnait la sensation d’être vivant.
    
    L’année suivante, lorsque Jean-Philippe décéda, Sandrine fit la connaissance de mon frère Christophe, nous étions restées forcément très proches mais nous n’avions plus de relation sexuelle ensemble, d’autant plus que je n’avais pas le cœur à cela. J’étais déplorée, j’avais des difficultés de reprendre goût à la vie. Je m’étais toujours très bien entretenue, j’étais encore une jolie femme, malgré mes 53 ans, j’appréhendais de me retrouver seule et de m’ennuyer. Heureusement j’avais de l’argent de côté et j’avais touché une très grosse assurance vie. J’étais suffisamment riche pour vivre aisément le restant de sa vie.
    
    En 2018, sous les conseils de mon frère et de Sandrine, j’étais partie faire une croisière qui devait me faire le plus grand bien. Ma meilleure amie et Christophe qui gérait ma petite fortune, avaient tout planifié derrière mon dos, ils me réservèrent une suite avec vue sur la mer, avec accès au balcon privatif où je pouvais prendre mon petit-déjeuner : « Tu seras traitée comme une vraie princesse, tu auras ton majordome, un coach sportif, accès au spa ...
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