L'auto-stop ou le sexe éphémère
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
Première fois
Mature,
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Ma pratique de l’auto-stop remonte à mes seize ans. C’était sur l’île d’Oléron, en plein été. Je devais rejoindre à vélo une amie à dix kilomètres du gîte que mes parents avaient loué. Seulement, ce jour-là, j’ai trouvé mon pneu arrière crevé. Mon père et ma mère étaient partis à la plage et je ne savais même pas démonter une roue de vélo, alors j’ai fait du stop.
C’était une toute petite route, peu empruntée. J’ai prévenu mon amie que j’aurais peut-être du retard et je me suis mise à guetter les voitures. Nous avions prévu de nous baigner près de chez elle. Je portais un petit débardeur à bretelles, un mini-short en jean effiloché et des tongs. Dans mon sac en toile, j’avais plié une serviette de plage et rangé une bouteille d’eau, des biscuits secs et un paquet de cigarettes.
La première voiture était pleine à craquer : une famille de touristes avec au moins trois enfants à l’arrière. La deuxième a ralenti et s’est arrêtée. C’était un petit utilitaire blanc, un homme au volant. La quarantaine. Il a baissé la vitre passagère et m’a demandé où j’allais.
Il y allait aussi, alors je suis montée.
Dix kilomètres, c’est court. En dix minutes, en voiture, j’aurais dû rejoindre mon amie, et j’aurais même eu cinq minutes d’avance. Seulement, en voyant une adolescente faire du stop sur cette petite route, l’homme s’était rapidement mis des idées en tête. Il ne lui fallut que quatre ou cinq kilomètres pour m’en faire part, assez clairement, sans détour. Une allusion, puis ...
... deux. Un compliment par ci, un autre par là. Un sourire de ma part, puis un éclat de rire. A deux kilomètres de ma destination, la voiture s’est engagée dans un petit chemin de sable, dans une forêt de pins.
Je n’ai pas fait grand-chose ce jour-là, pour la simple et bonne raison que j’avais mes règles. L’homme, qui était vraiment sympathique, s’est contenté de me tripoter les seins pendant que je le suçais. Comme moi, il avait ôté son t-shirt, et, sentant qu’il allait éjaculer, je me suis éloignée et je l’ai fini à la main. Les giclées ont échoué sur son estomac velu.
C’était il y a six ans. Entre temps, j’ignore combien de fois j’ai refait du stop, sans attendre d’avoir un pneu crevé ou une panne de voiture. J’en ai refait sur l’île d’Oléron, durant ce même été et aux cours des suivants, puis aux alentours de Brive où j’habite. Ma première expérience, complètement imprévue, m’avait particulièrement plu et excité. Elle avait éveillé quelque chose en moi. J’avais appelé cela le sexe éphémère.
Des parties de jambes en l’air, ou des parties de cul, appelez cela comme vous voulez, avec des inconnus que je n’étais pas appelée à revoir. Un peu à la façon de parenthèses qui s’ouvrent et se referment quelques minutes plus tard. Un peu sur le principe d’une prostituée, me direz-vous. J’en suis bien consciente. C’est la petite pute en moi qui aime tant l’autostop.
Au cours des deux premières années, en apprenant l’âge que j’avais, il est arrivé que des hommes renoncent à me ...