1. La nuit de tous les risques : partie 1


    Datte: 15/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: GCG, Source: Hds

    ... légèrement perturbée à son tour.
    
    On ne peut pas faire ça ici, tout le monde est en bas !
    
    Tu as raison, encore une fois. Tout le monde est en bas. Mais ton maître à envie de se détendre. Et ton rôle de chienne, comme tu le dis si bien, c'est justement de t'assurer que j'ai ce dont j'ai envie, quand j'en ai envie !
    
    Je la sentais moins sure d'elle tout à coup, mais une simple pression sur ses épaules suffit à la faire s'agenouiller.
    
    Je me tenais le dos contre la porte afin de pouvoir bloquer tout visiteur indésirable que nous n'aurions pas entendu. Et pendant ce temps, ma salope, accroupie, défaisait maladroitement la boucle de ma ceinture.
    
    Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer, on l'a déjà fait, et j'ai vraiment envie de me faire sucer ! Si tu es gentille, étant donné que c'est la fête des mères, tu pourras même avoir droit à un souhait que je devrais exaucer.
    
    Ma main parcourait ses cheveux de jais, lui massant le crane pour la mettre un peu plus à l'aise.
    
    Elle prit une profonde inspiration, et sembla retrouver son sang-froid. Cette idée de gage l'avait visiblement remise d'aplomb.
    
    Quelques secondes plus tard, mon pénis était enfin sorti de sa cage trop étroite. Elle l'embrassa doucement tout en la frottant contre son visage. Son souffle chaud contre mon membre m'apaisait, mais je savais qu'il s'agissait du calme avant la tempête. Son autre main caressait mes cuisses, tantôt devant en descendant jusqu’au genou, tantôt derrière en remontant sur mes ...
    ... fesses, de façon délicate et hautement sensuelle. Je ne pouvais masquer mes petits soubresauts, ces petits frissons qui me faisaient trembler sous ses doigts. Puis vint le moment tant attendu où elle enfourna mon membre dans sa bouche. Je laissai échapper un râle de plaisir malgré moi, car cet orifice était un fourreau divin. Mes mains parcouraient son visage en douceur, car je savais que nous aimions ce contact. Elle prenait son temps, j'aimais ça, mais nous ne pouvions nous permettre de nous absenter plus d'une dizaine de minutes encore.
    
    Les mouvements de mon bassin lui imprimaient une cadence de plus en plus soutenue, lorsque soudain une voix retentit dans la cage d'escalier.
    
    Mon cœur ? Ça va ?
    
    Merde !
    
    Nos craintes se matérialisaient soudain, ma femme demandait après moi, et elle n'était peut-être qu'à quelques marches de la chambre. Je n'avais pas le choix, je devais lui répondre, sans quoi nous serions démasqués. Je mis un doigt devant ma bouche, en signe de silence, et lui fis comprendre que j'allais ouvrir la porte pour répondre à sa fille.
    
    Lorsqu'elle comprit ce que j'allais faire, une lueur brilla dans ses yeux, et avant même que je ne m'en ronde compte, mon sexe avait été complètement absorbé dans cette écrin humide et bouillant. Cette pute me faisait une gorge profonde car elle était excitée par le risque que l'on se fasse prendre, ce qui la bloquait cinq minutes auparavant, la faisait très certainement mouiller maintenant ! Je me mordis la lèvre ...