Ma mère entre Paradis et Enfer. (3)
Datte: 15/12/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sexag, Source: Xstory
... placard à balais. J’ai surtout beaucoup de repassage. Tu vas commencer par ça. »
Ma mère se dirige vers le placard, enlève sa robe pour enfiler sa blouse. Amélie assiste au déshabillage sans que ma mère ne s’en offusque.
- « Je vois que tu as suivi mes conseils Line. Je t’avais dit que ton corps méritait d’être mis en valeur. J’aimerais que tu ne mettes pas ta blouse, le repassage ne l’impose pas. »
- « Je ne me sentirais pas à l’aise madame. Je préfère la mettre »
- « Ok mais alors, ne la boutonne pas tu auras peut-être trop chaud… ! »
Ma mère regarde fixement sa patronne pour lui signifier qu’elle n’est pas dupe. Madame Koma s’absente pour laisser son « employée » à son travail.
- « Je vais profiter de ta présence pour faire une petite sieste, j’ai beaucoup travaillé dans les étables ce matin, sans mon mari c’est très lourd et fatiguant comme travail. Je te dirai où placer les affaires plus tard. Si toutes fois tu as envie de me voir, tu peux venir dans ma chambre sans frapper. N’hésite pas à me réveiller si je me suis assoupi. »
Pendant tout son repassage, ma mère ne cesse de penser à ce qu’elle a perçu comme une nouvelle approche sensuelle, voire sexuelle d’Amélie. Doit-elle se préparer à affronter de nouveaux assauts de la part cette femme perverse ? Refuser ? Céder ? Ses deux expériences précédentes entrecoupées de la ferme réprobation du père Joseph ne cessent d’être présentes à son esprit. Le fait qu’elle ait répondu à l’attente d’Amélie ...
... concernant sa tenue sous-vestimentaire et particulièrement de ne pas mettre de culotte ne lui laisse pas de doute. Elle a bien envie d’exciter cette gouine qui est très attirée par son gros cul est ses énormes seins.
Contrairement au sentiment de culpabilité, de faute, qu’elle éprouve dès qu’elle est à l’église, sa présence chez les Koma lui donne l’impression qu’elle est dans un autre monde et si de temps en temps elle lève les yeux comme pour demander pardon à Jésus, elle s’accommode vite de ses pensées lubriques. Ma mère s’imagine rompant ses réticences morales pour aller retrouver sa patronne. Elle en est même à sentir que son ventre réclame des caresses. N’y tenant plus, elle termine rapidement son travail et à pas feutrés, se dirige vers la chambre.
La porte est entrouverte. Amélie Koma est étendue sur le lit, sur le dos, la jupe retroussée très haut jusqu’à mi-cuisses laissant entrevoir qu’elle n’a pas de culotte, le corsage ouvert sur une poitrine nue. La maitresse de maison semble dormir. Sur la table de nuit, bien en évidence est posé un imposant gode ventouse ressemblant au gode ceinture utilisé lors de la première séance de contact lubrique avec son « employée ». Ma mère hésite à la réveiller et comme une voyeuse, elle admire ce corps qu’elle a eu de force puis de gré à enserrer dans ses bras. En voulant s’approcher, elle trébuche contre un fauteuil ce qui réveille sa patronne.
- « Alors Line tu viens te faire baiser grosse salope ? Ouvre ta blouse que je vois ...