1. Séduction, amour et soumission (9)


    Datte: 14/12/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... laisse-moi encore essayer »
    
    Ses jambes se plièrent, ses tétons remontaient sous l’étirement.
    
    « Remontes puis redescend. »
    
    Elle fit l’exercice trois fois.
    
    « C’est très bien Leyla, très bien. Je vais te récompenser. Tu vas maintenant venir me lécher »
    
    Je me tenais assise sur le lit cuisses écartées, elle devait se déplacer d’un petit mètre vers moi pour ensuite s’agenouiller.
    
    La distance parcourue, après une longue hésitation, elle ne put s’agenouiller, le regard baissé, elle dit : « Grâce Marianne ».
    
    Je la libérai immédiatement. Elle vint s’agenouiller devant moi, penaude.
    
    « Je suis désolée de ne pas y être arrivée, excuses-moi Marianne.
    
    -Ca n’était pas mal pour une première fois. Tu vois ce que c’est de provoquer ta maitresse !
    
    -Oui, j’ai compris.
    
    -Tu as peut-être compris mais je dois quand même tenir la promesse que je t’ai faite. Tu vas te mettre sur le lit en position de soumise.
    
    A quatre pattes, cuisses écartées, elle attendait. Je choisis la badine de bambou, je voulais lui donner une leçon.
    
    Je commençai par l’extérieur des cuisses, longuement de chaque côté. Lorsque la badine s’abattit sur ses fesses, je la vis par de ...
    ... vains mouvements tenter d’y échapper. Je m’appliquai à la frapper uniformément jusqu’à ce que puisse voir les traces rectilignes et alignés des impacts. Je fis mine d’arrêter pour vite recommencer en visant soigneusement les parties déjà rougies.
    
    Lorsque j’arrêtai, son visage était baigné de larmes, elle vint se réfugier dans mes bras. En hoquetant elle put me dire qu’elle savait que c’était mérité.
    
    A l’issue de ces épreuves, le plaisir était lui aussi mérité. Jamais repues de nos sexes, nos bouches s’en emparèrent pour un long, très long soixante-neuf. Je ne me privai pas d’ajouter à cette caresse, celle de mes doigts dans son vagin. J’allais et venais jusqu’au moment où, sous ma langue, je sentais à la dureté de son bouton qu’elle était prête à jouir. J’arrêtais pour reprendre. L’exercice se répéta plusieurs fois jusqu’à ce que je sentisse sous mes doigts un écoulement encore inconnu de sa chatte ; mes doigts inondés de sa cyprine abondante, étaient également couverts de sa mouille blanche, je la laissais aller, comme moi abandonnée à ses caresses.
    
    C’était un samedi soir, notre dernier samedi soir avant les vacances et notre séparation pour le reste de l’été. 
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