Ma fille fait des extras nocturnes… (5) - Histoires de Sexe

Ma fille fait des extras nocturnes… (5)

... devenir sa poupée. Mais ma culpabilité s’effaça rapidement en suivant Caroline dans les escaliers, son boule remuant de droite à gauche parfaitement moulé par sa robe. Sans compter que la petite n’avait pas l’air malheureuse, bien au contraire, elle n’avait jamais semblait aussi lumineuse.

Dans la cuisine, Samuel et Gérard prenaient un café noir et bien tassé pour patienter. Ils furent alertés de l’arrivée de ma princesse par le bruit de ses talons dans les escaliers puis par le claquement sonore et régulier sur le carrelage. Ils étaient donc aux aguets quand elle pénétra radieuse, dans la pièce.

— Magnifique, la digne fille de sa mère ! s’exclama Gérard en voyant ma gamine arriver dans la cuisine.

Samuel, quant à lui, s’était levé pour aller à sa rencontre. D’une main experte de ses nombreuses conquêtes féminines, il a posé ses mains sur les hanches de Caroline, qui a émis un petit gloussement, au contact des paumes. Puis délicatement, il les a descendues sur le haut des fesses de la jeune femme pour la faire tourner sur elle-même et continuer son inspection. Après avoir tapoté l’ensemble, il a serré fermement la marchandise, les fesses de ma fille manquaient encore un peu de fermeté, mais par rapport à sa première tournante, il y avait du progrès. Samuel, quant à lui se contentait d’émettre des : « hum, hum » appréciatifs.

Satisfait, il a attrapé ma petite fille par la nuque et par sa fesse droite, pour venir la plaquer contre lui. Puis, en la tirant ...

... légèrement par sa crinière brune, il est venu coller ses lèvres contre les siennes, ce qu’elle a semblé apprécier au vu de ses ronronnements de plaisir. En regardant de plus près, je pouvais voir la petite langue rose de ma fille sortir de sa bouche pour aller rechercher celle de mon meilleur ami. Caroline était active et ne se laissait pas faire, et pour mon plus grand plaisir, j’ai constaté que sa main libre était venue se poser sur l’entre-jambes de l’homme, et le caressait maintenant délicatement à travers le tissu du jean.

— Ses réflexes sont en progressions, commenta Gérard. Elle commence à réagir comme une véritable salope.

— Parfait, c’est ce que l’on attend d’elle.

— Je te sers un café le temps que Manuel finisse de la peloter ?

— Volontiers, avec un sucre.

Voir ma fille aussi active et réactive pour chauffer mon meilleur ami, me rendit toute chose. Il me fallut toute ma concentration pour ne pas descendre ma main vers mon second cerveau, devant ce spectacle magnifique. Sous mes yeux, ma fille devenait une femme, non que dis-je, plus qu’une femme, une véritable nymphomane. Soudain, alors que Gérard me tendait une tasse, j’ai capté le regard plein de pitié de Samuel. Il semblait au bord de l’explosion et affichait un rictus proche de la grimace sur le visage.

— J’ai le temps ? m’a dit-il demandé presque avec pitié.

— Le temps que je finisse mon café. Je suppose que ça te laisse le temps pour une petite pipe. Tout le monde y gagne, j’ai le temps de me ...