1. Une de perdue, une de trouvée.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, voisins, Collègues / Travail vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, baillon, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... ou plus exactement grâce à elle que mon épouse s’était découvert un goût pour des jeux plus forts.
    
    Avant que tous les trois aient mis en place ce piège où je suis tombé pour m’entraîner vers le partage et qu’enfin Louis puisse la baiser ?
    
    Avant que Nadia accepte de me les montrer ? Sans cela elle aurait pu minauder ou faire celle qui n’a fait cela que parce que je l’avais accepté ?
    
    Une seconde, je ne retins que « les bons côtés » ! que ma femme n’avait pas voulu coucher avec un homme. Qu’après le jour de l’An elle n’était pas redevenue leur jouet. Oui, leur jouet, car dans ces moments-là, je rejetais la responsabilité sur eux, des pervers, des tentateurs, des manipulateurs, des prédateurs.
    
    La seconde suivante Agnès était responsable de tout. Je vivais sans le savoir au côté d’une salope, d’une chienne qui sous un habit de bonne épouse et mère de famille cachait des envies de sexe déviant. Et que probablement les voisines n’étaient que la partie visible d’un iceberg de vice, de stupre et qu’elle me cocufiait avec tout le monde.
    
    **********
    
    Ils sont revenus. J’avais eu tout le temps nécessaire pour faire des copies de la plupart des fichiers et d’aller tout remettre en place.
    
    Ils sont revenus et mon fils a éclairé ces retrouvailles sous un jour nouveau. Papa, par ci, Maman par là. Une famille quoi. Agnès est très en beauté, le soleil lui va bien. Elle est très affectueuse et même plus. Dès la première nuit, elle m’a montré combien je lui avais ...
    ... manqué.
    
    Je pourrais tirer un trait en faisant comprendre que « quoi qu’il se soit passé » cela ne doit plus se reproduire. L’engager à avouer si par hasard elle m’avait caché quelque chose. Impossible d’être plus précis, ce serait reconnaître que j’ai fouillé chez les voisins. Mais si elle reconnaît au moins une partie de la vérité alors je suis prêt pour un nouveau départ.
    
    Pendant une semaine j’essaie de parler, mais, et c’est un comble, je n’y arrive pas. C’est comme si je revenais en arrière le premier janvier en me réveillant et alors que tout me revient.
    
    Il faut que je sache. Pardonner oui, mais après avoir la preuve que ce n’était qu’une faiblesse et que c’est le couple qui a su la détourner.
    
    **********
    
    — Chérie, la semaine prochaine, jeudi et vendredi je serai en déplacement. Et le lundi suivant aussi. Impossible de tout bloquer sur la même semaine. Je m’étais dit que, comme ce n’était pas loin de mes parents, je pourrais passer le week-end avec eux. On n’y va pas souvent. Ce serait l’occasion. Cela ne te dérange pas ?
    — Non, bien sûr. C’est l’occasion de faire d’une pierre deux coups. Tu pourras te reposer comme cela. Tu travailles trop.
    — Oui, c’est vrai. Et toi tu vas faire quoi ?
    — Avec Romain, on va bien trouver de quoi s’occuper, rassure-toi.
    
    Le piège est tendu. C’est elle qui va décider d’une façon ou d’une autre de l’avenir de notre couple.
    
    Samedi. Appel depuis chez mes parents. Elle bavarde longuement avec eux.
    
    Dimanche matin. Je l’appelle à ...
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