1. Une de perdue, une de trouvée.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, voisins, Collègues / Travail vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, baillon, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... plomb. Il a déboulé un jour chez moi, dans une fureur noire en me hurlant dessus avec entre autres la phrase :
    
    — Si tu fais du mal à ma fille, je te tue.
    
    Il s’est calmé sans que je ne fasse rien. Je l’ai laissé mijoter un peu, après tout cela faisait du bien de le voir déstabilisé, lui le roi des coups tordus. Il a cru que je plaisantais lorsque je lui ai dit que c’était sérieux et que sa fille voulait qu’on se marie après mon divorce et son diplôme d’ingénieur.
    
    Oui, aussi étrange que cela paraisse, c’est elle qui a parlé mariage et comme un sous-entendu à peine perceptible, enfant. Je me suis laissé faire. Son amour, sa fraîcheur ont déclenché chez moi une nouvelle envie de bonheur. Je l’aime, un amour différent d’avec Agnès, un amour plus profond, plus calme, plus serein.
    
    ***********
    
    La tradition est respectée. Les jeunes mariés se sont retirés. Oh, pas dans une voiture avec une casserole, mais tout simplement dans notre chambre, chambre dont le balcon donne sur la piste de danse. Il a fait un temps magnifique et à cette heure de la nuit la fraîcheur est appréciée de tous.
    
    — Viens, fais-moi l’amour sur le balcon.
    
    Au fil des mois, j’ai découvert une Isabelle qui aime que l’on fasse l’amour dans des endroits les plus inattendus et j’ai remarqué que sa jouissance était d’autant plus forte que le risque de se faire surprendre était grand. Dans ces moments-là, pas de longues mises en bouche, non, directement l’essentiel.
    
    Ce soir tout de même, sur le ...
    ... balcon juste éclairé par la lune, nous prenons notre temps. Tout de même, une nuit de noces ! Même si on l’avait déjà répétée de nombreuses fois.
    
    Je la déshabille longuement. Ses sous-vêtements sont de la même couleur que sa robe. Oh, pas une robe de mariée avec traîne et tout le tralala, mais tout de même élégante et fuchsia, ma couleur préférée, couleur qui déclenche chez moi des envies de sexe et qui m’a déjà fait entraîner la jeune mariée dans un recoin pour la baiser subrepticement.
    
    Elle aussi me déshabille. Elle me découvre au garde-à-vous. Elle se charge d’en vérifier la réalité. Ses lèvres parcourent ma queue dressée. Putain, que c’est bon ! Mais elle se lève et se place contre le balcon en appui, légèrement cambrée. Sa croupe m’attire. Elle écarte les jambes. Pendant quelques minutes, je lui fais une belle minette, goûtant à ma propre liqueur que j’ai abandonnée en ces lieux il y a quelques heures maintenant. Elle est toute chaude. Elle se tortille.
    
    — Viens ! Viens ! me dit-elle avec un ton qui supplie.
    
    Parfois elle est plus causante, ses mots sont d’autant plus forts qu’ils ne sont pas en accord avec son visage de jeune femme à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Les « baise-moi, enfile-moi, laboure-moi, encule-moi » sont des suppliques auquel j’obéis avec joie. La jeune Isa s’est révélée au fil des mois une amoureuse redoutable. Telle mère, telle fille ! pensé-je parfois.
    
    Je l’enfile. Mon dard glisse en territoire conquis. Mes mains s’accrochent ...