Ma femme est zoophile..., mais pas que! (7)
Datte: 11/12/2022,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Aiguebrun, Source: Xstory
... jusqu’aux couilles qui ballotent sous ton cul. Maintenant je vais te la pomper pour faire venir ton jus.
— Imagine qu’il ait envie de t’enfoncer son pieu dans la chatte qui commence à être toute mouillée.
— Mais oui Foot tu vas bientôt me perforer mon minou que tu as léché tout à l’heure, attend une seconde je vais me mettre en position de chienne en chaleur pour que tu me défonces. Viens maintenant donne-moi ta queue, Foot, vas-y mon chien, viens féconder ta pute de chienne. Ah, Foot, je sens les saccades de ta grosse bite dans ma foufoune et elle grossit encore ! Eh, mon gros chien tu m’astique à toute vitesse, je suis déjà toute mouillée, je jouis mon chien, bon dieu je jouis ! mais qu’est-ce que je sens, tu éjacules, vas-y envoie-moi tout ton jus Foot, ah putain, c’est bon ! Tu es un bon chien mon Foot, un bon chien, maintenant viens me nettoyer mon trou comme tu me l’as fait l’autre jour !
— C’est bien la langue du chien qui va te nettoyer ?
— Oui, c’est bien elle, récupère ton sperme qui coule, Foot et viens me lécher la bouche !
Et je m’approche de la bouche de Danielle pour l’embrasser comme une bête.
Légèrement troublés par l’outrance et la bestialité de la scène que nous venons de vivre, elle nous montre cependant comment Danielle et moi sommes maintenant accros à ce type de relation.
Nous avons pris le temps de réfléchir pendant la journée, mais le soir, l’insistance de Danielle pour baiser à nouveau avec Foot a fait pencher la balance et elle ...
... appelle le propriétaire du chien.
Quinze jours plus tard, lorsque nous sonnons à leur porte c’est un couple d’une soixantaine d’années qui nous ouvre, lui plutôt avenant aux manières surannées du beau parleur, elle, plus effacée, voire timide. Tous deux ont encore physiquement belle allure bien qu’ils soient habillés très modestement. Ils habitent un petit pavillon à la sortie de notre ville avec un beau jardin bien entretenu.
Installés dans le salon, les présentations faites, elle s’appelle Hélène, lui Henri (si c’est comme pour les chiens de race, ils doivent être de la même année..., je plaisante !), Hélène nous sert un Porto dans des petits verres ridicules avec dans une boîte en fer, des langues de chat ! On se croirait chez nos arrières grands-parents.
Que sommes-nous venus faire dans cette galère ?
Deux canapés identiques se font face, Danielle et Henri sur l’un, Hélène et moi sur l’autre. C’est Henri qui aborde le premier le sujet qui nous intérresse en demandant à Danielle dans quelles circonstances nous avions rencontré Foot. Elle raconte dans les moindres détails, comme elle sait si bien le faire, notre rencontre avec le chien ce qui a pour effet de faire monter la tension sexuelle d’un bon cran. Je me rapproche insensiblement d’Hélène, ses joues s’empourprent et j’ose lui poser une main sur sa cuisse ; elle sursaute légèrement mais s’enhardit à copier mon mouvement, ses joues cette fois étant écarlates. Danielle, beaucoup moins farouche, a déjà la main ...