1. Chapitre 35 : Caroline offerte à son amant par Éric candauliste.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Plaisirsexbi, Source: Hds

    ... saccadé fait écho à mes râles de plaisirs.
    
    Par moment, mes jambes vacillent légèrement entre les pénétrations et les orgasmes à répétition et je dois prendre appui un bref instant sur l’accoudoir du canapé pour ne pas chuter. Jean-Jacques, très en forme, accentue encore ma cambrure en tirant mes cheveux vers l’arrière. Nos mains ne se lâchent plus, comme nos corps.
    
    Éric me propose de prendre appui sur lui pendant que Jean-Jacques continue à me prendre. Je ne me fais pas prier. C’est quelque chose que j’adore, que nous adorons d’ailleurs tous les deux !
    
    Cela nous excite particulièrement. Nous pouvons nous regarder intensément, sentir nos corps et voir notre plaisir au plus près.
    
    Seul petit bémol, j’ai toujours peur de lui faire mal, en m’agrippant fortement ou en titubant, ou d’être lourde en m’abandonnant contre lui.
    
    Éric est au garde-à-vous ! Son sexe s’érige dans une excitation partagée entre nous trois.
    
    Après toutes ces émotions, Jean-Jacques et moi avons besoin de nous asseoir… Il s’installe dans un fauteuil et je prends position sur lui en appui sur mes jambes.
    
    Notre ami Jean-Jacques ne perd pas une miette de ma chute de reins. Pour ma part, c’est tout à la fois très excitant et… plutôt physique !!!
    
    Je trouve finalement un bon compromis en prenant appui sur mes jambes et sur mes bras grâce aux accoudoirs. En répartissant mon poids, je vais être bien plus endurante qu’en ne comptant que sur mes cuisses.
    
    Je chevauche notre ami, mon amant de ...
    ... toujours sous le regard pétillant de mon tendre époux.
    
    Cabrée et aérienne, je m’empale à loisirs sur la grosse bite érigée de Jean-Jacques.
    
    Lentement, doucement ; rapidement, violemment. Nos va-et-vient ne se ressemblent pas.
    
    Je suis aux anges de voir mes mâles ainsi et de ressentir leur désir.
    
    Il y a une très forte tension sexuelle dans la pièce, c’est palpable.
    
    Il fait très, très chaud !!! Les mains de Jean-Jacques empoignent mes seins, enserrent ma taille, saisissent ma gorge.
    
    Le souffle coupé et le sexe humide des plaisirs répétés, je jouis à plusieurs reprises.
    
    Je me fais plus chienne et plus chatte que jamais, mes deux hommes sont bouillonnants.
    
    La situation m’excite particulièrement et encore plus lorsque je vois le niveau d’excitation de mon mari « candauliste », qui ne cesse de se masturber en nous regardant. Il doit régulièrement ralentir la cadence pour ne pas éjaculer.
    
    Et quand je ressens le désir de Jean-Jacques à sa respiration saccadée entrecoupée de râles de plaisirs. C’est très, très, très intense !!!
    
    Nous opérons une migration en direction du canapé.
    
    Je m’allonge sur le dos aussitôt rejointe par Jean-Jacques.
    
    Cuisses ouvertes et cou tendu, je suis complètement offerte. Il glisse son sexe dans mon intimité et me baise avec fougue.
    
    Sa main droite saisit ma gorge et prend ainsi appui avec une belle maîtrise de l’étranglement.
    
    Je me sens proie entre sa main ferme, mais je ne suis jamais en manque d’oxygène.
    
    Bien que je ...