Colis surprise ! - Histoires de Sexe

Colis surprise !

... très chaud. Tu l’aurais entendue. Une vraie coquine délurée avec un vocabulaire plus que…
— Mon pauvre Chéri tu n’as eu que le son… viens je vais m’occuper de toi…

Pendant de longues minutes, la chambre n’est plus que sexe et volupté.

Ils sont en sueur, allongés l’un à côté de l’autre après une belle partie de baise où Armelle a été dans toutes leurs pensées.

— Tu sais, dit Ludivine, j’ai bien envie de continuer. On pourrait s’amuser un peu maintenant que nous savons. J’ai une petite idée. Demain… Il fait moins chaud et on pourrait…
— Qu’est-ce que tu mijotes ?
— Une idée comme ça. Tu me laisses faire et si les conditions sont bonnes tu profites de l’opportunité.
— De quoi tu parles ?
— Tu comprendras sur le moment… À condition que j’arrive à… Aussi que nos deux A soient coopératifs…

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— J’ai un peu mal à la cheville. Avant d’entamer la descente, je vais me reposer un peu,

dit Ludivine qui s’assoit sur un tronc d’arbre arraché par une ancienne tempête.

Ils marchent depuis plus d’une heure.

C’est elle, qui ce matin a proposé cette promenade dont le but est un trou d’eau, piscine naturelle inaccessible autrement que par ce sentier.

— C’est la coiffeuse qui m’en a parlé. En plus aujourd’hui ils annoncent un peu moins chaud avec un soleil voilé, c’est idéal !

Tout le monde a été d’accord. Le temps de préparer un pique-nique et les voilà partis. Trente minutes de voiture. Un parking vide. Ils sont seuls. Le sentier ...

... est à peine marqué.

— On va faire une pause, propose son mari.
— Mais non, ne m’attendez pas, il paraît que le soleil ne reste qu’une petite heure. La gorge est étroite. Ne vous privez pas pour moi.
— Mais non, on peut attendre.

Cette remarque vaut à son mari un regard « furieux » qu’heureusement personne d’autre que lui n’a vu. Il comprend que Ludiv a une idée en tête. Leur conversation de cette nuit lui revient :

— On ne va pas te laisser seule.

Il n’a pas besoin de demander. Alex, toujours bon samaritain, se propose.

Julien et Armelle entament la descente assez raide. On devine le cours d’eau qui coule en bas, mais la « piscine » reste invisible. Ludivine et Alex les regardent partir.

Machinalement Ludiv se masse la cheville. Ils échangent des banalités. Il fait beau, pas trop chaud, c’est magnifique. Quelques minutes se passent ainsi.

— Cela va mieux ? demande Alex.

Ludiv qui a regardé sa montre lui répond. Elle pense que leurs conjoints ne doivent pas être loin du but.

— En réalité j’ai menti, je n’ai pas vraiment mal.
— Ah. Pourquoi ? Tu ne veux pas descendre ?
— Si bien sûr, mais je voulais pouvoir te parler.
— Me parler ? Mais pourquoi ce mensonge. Tu avais tout le temps pendant le chemin.
— Oui, mais je préfère comme cela.
— De quoi veux-tu me parler. C’est si mystérieux ?
— On peut dire cela. C’est au sujet d’hier.
— Hier ?
— Tu sais parfaitement de quoi je veux parler. Après tout j’ai le droit de savoir, tu fais coucher ta femme ...