1. Colis surprise !


    Datte: 10/12/2022, Catégories: fh, couplus, candaul, vacances, forêt, cérébral, revede, caresses, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, attache, yeuxbandés, confession, initiat, occasion, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... goûter sa propre liqueur.
    
    Et puis un silence. Elle respire fort. Elle entend la respiration de « Julien » qui doit être aussi excité. Mais le silence dure. Elle sait ce que l’homme attend. Il attend son invitation.
    
    Cela fait partie du jeu… Du jeu, mais quel jeu ? C’est normal qu’elle l’invite… Cela doit venir d’elle… Ce n’est pas parce qu’elle est attachée et aveuglée que l’on peut abuser d’elle… Bien que parfois elle se demande ne pas avoir envie que l’inconnu soit plus viril, plus possessif, plus brutal, plus dominateur.
    
    — J’ai envie, prends-moi. Oui, prends-moi.
    
    Elle n’a pas besoin de se forcer pour quémander cette possession. Elle en a envie. Son mari l’a bien chauffée avec son 69 et si elle a joui il lui manque le principal.
    
    Julien a entendu. Elle sent le matelas bouger entre ses jambes, une main se poser sur sa cuisse. Elle imagine l’autre guider le sexe dont elle ressent la présence aux portes de son intimité. Mais pas plus si ce n’est cette main qui caresse l’intérieur de sa cuisse. Elle sait ce qu’attend l’homme, c’est de le matérialiser, lui créer une vérité même si elle est virtuelle, lui mettre un prénom.
    
    — Prends-moi. Oui. J’ai envie. Julien, prends-moi.
    
    Il entre. Le sexe avance dans sa fente dans une longue glissade. De chaque côté de son corps, elle sent le matelas fléchir sous la pression qu’elle imagine être des mains de l’homme. Il la couvre. Son visage ne doit pas être loin du sien. Elle imagine son regard, ses yeux verts qui lui ...
    ... donnent une autorité qu’elle acceptait. Comme elle accepte qu’il, que « Julien » la possède.
    
    Elle gémit. Elle gronde. La pièce est remplie de ses gémissements, de ses cris, de ses paroles. Même les cigales se sont tues pour écouter. « Julien » est silencieux. Elle n’entend que son souffle. C’est elle qui l’encourage :
    
    — Oui, c’est bon… Encore… Baise-moi… Tu es gros… Je te sens… Plus fort… Encore…
    
    Il y a longtemps qu’elle sait que ce genre de paroles participe à l’excitation des hommes. Alex aime… Julien aussi.
    
    Elle ferme les yeux. En souriant, elle pense que c’est ridicule, car elle ne peut de toute façon pas voir, mais, en fermant les yeux, des souvenirs reviennent. Des souvenirs d’avant, du temps où Julien était son amant et qu’il la baisait… Des souvenirs qu’elle ne chasse pas et qui contribuent à son excitation.
    
    Mais il l’abandonne. Elle va implorer qu’il revienne. Il faut que… Mais une pression s’exerce sur son plug. Il joue avec, le faisant tourner, le tirant pour le relâcher.
    
    — Oui, oui, c’est ça. Prends-moi par mon petit trou… Met-moi ton bâton dans… Encule-moi… Oh oui, remplis-moi avec ta belle queue.
    
    Armelle n’était pas familière de ce genre de vocabulaire qu’elle jugeait vulgaire, mais d’être attachée, aveuglée, de se faire traiter parfois, d’un « Salope» chargé de tant de sensualité par son mari, l’avait convaincue de tenter aussi ce langage. Et cela marchait très bien. Alex adorait l’entendre se faire « vulgaire» et cela décuplait son ardeur. Il en ...
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