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L'éducation de Juliette (6)
Datte: 09/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory
Cela fait deux mois que nous sommes mariés. Deux mois que je ne suis plus vierge. Deux mois que mes orifices ont connu toutes sortes de calibres lors de mon dépucelage. Depuis, rien, nada. Jean me délaisse, j’ai beau faire ma chatte, me lover contre lui, le câliner. Rien Il veut renouveler l’expérience de la nuit de noces. Mais j’ai trop honte de m’être comporté comme une salope, de ne pas avoir refusé toutes ces bites qui m’ont possédée. Je ne veux plus que mon homme. Mais j’ai beau lui dire, lui répéter que je ne veux que lui, il refuse de me toucher si je ne me plie pas à ses caprices. Alors, en désespoir de cause, j’ai accepté de me soumettre à ses désirs. Nous sommes lundi, mon jour de repos. Jean est resté à la maison (il travaille à son compte, libre de ses horaires). — Chérie, prépare-toi, nous allons au cinéma. Comme d’habitude, je le laisse choisir ma tenue. Veste pour le haut, sans rien dessous, mes seins sont à peine masqués, minijupe très courte, porte-jarretelles, bas et pour une fois, il me demande de mettre une culotte, tanga très échancré. Nous voilà partis. Nous arrivons devant un cinéma qui me parait un peu vieillot, dans la file d’attente que des hommes. — Va te mettre dans la file, tu prends des places pour « Je suis une salope ». Je n’ai pas vu les titres, mais là, je les remarque, que des films pornos. J’hésite, Jean me pousse, il ajoute : — Quoiqu’il se passe, tu ne dis rien, tu laisses faire. Je m’installe dans ...
... la file d’attente, seule femme au milieu de tous ces mecs en rut. On me dévisage. Une main se faufile sous ma jupe, un doigt glisse sur ma chatte à travers ma culotte. Je regarde Jean, il me sourit sans rien dire. Alors je ne dis rien. J’arrive à la caisse. Je me penche, offrant une vue plongeante sur mes seins. Le mec derrière moi profite de ma position pour accentuer sa caresse, je mouille. — Deux places s’il vous plaît. — Quel film ? A voix basse — Je suis une salope. — Pardon, je n’entends pas. A voix haute — Je suis une salope. — Je confirme, dit mon branleur, elle mouille. Je récupère les deux places et vais rejoindre Jean. La salle est à moitié vide. Jean se dirige vers une rangée qui a un grand dégagement devant, couloir de passage, je suppose. — Va t’installer au milieu. — Et toi ? — Je vais rester là. Me voilà seule dans ce cinéma fréquenté par des hommes en chaleur. Un mec vient s’asseoir à côté de moi. — Comme on se retrouve. C’est mon branleur. — Tu es seule ? — Non je suis avec mon mari. — Il est où ? Je fais signe vers Jean. Mon branleur le regarde et lui fait un petit signe auquel Jean répond en souriant. — OK, monsieur est complaisant, on va bien s’amuser. Je n’ose comprendre, et pourtant, je lui ai dit que je me soumettais à ses désirs. C’est pour cela, ce cinéma, il va m’offrir en pâture à ces mecs en rut. La lumière s’éteint. Sur l’écran, une belle blonde est entourée par trois ...