Voyeurisme inattendu (1)
Datte: 09/12/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: web8464, Source: Xstory
VOYEURISME INATENDU
Ce soir-là, nous étions partis manger chez mes beaux-parents. Une soirée couscous, comme nous en faisions souvent.
Parmi les soirées chaudes d’été, nous nous étions installés sur la terrasse pour déguster ce couscous accompagné de rosé bien frais. La soirée avança doucement, invitant une fraicheur bien agréable après la journée ensoleillée que nous avions passée.
Soudain, alors que nous parlions de tout et de rien, ma femme se rapprocha de moi et me glissa discrètement à l’oreille.
— Regarde comme ma mère a les seins qui pointent.
A mon tour, avec la plus grande discrétion et tout en continuant de parler, je lançai un coup d’œil sur les gros seins de ma belle-mère. En effet, sous l’effet de la fraicheur, les tétons de ma belle-mère avaient durci et se voyaient maintenant très distinctement à travers son haut.
Je regardais ma femme avec complicité pour lui confirmer ses dires.
Un moment plus tard, lorsque j’étais en train de mater les seins de ma belle-mère, m’imaginant faire une branlette espagnole avec ces deux grosses loches, celle-ci se pencha pour ramasser sa serviette tombée par terre, me faisant découvrir grâce à un décolleté, ses seins pendant vers le sol. Ses seins étaient vraiment énormes et pendaient vers le sol comme les mamelles d’une vache malgré un soutien-gorge noir.
Ce bref instant m’avait fait bander et ma femme, qui avait vu la scène, posa délicatement une main sur la bosse que formait ma bite à travers mon ...
... pantacourt et me glissa discrètement à l’oreille :
— Espèce de gros cochon.
Je souris.
La soirée passait, et ce fut l’heure de partir. Le temps de dire au revoir à tout le monde, nous nous sommes dirigés vers la voiture. Ma femme croisant sa mère, celle-ci lui dit :
— Bon retour, je file prendre un bain et je vais me coucher, à bientôt.
— Bonne nuit, à bientôt, répondit ma femme.
Dans la cour, ma femme me dit :
— Suis-moi petit coquin.
Ma femme m’attira à l’arrière de la ferme de ses parents. Nous contournions donc la ferme rapidement. Je m’attendais à baiser ma femme dans le champ, mais celle-ci ralentit le pas à l’abord d’un fenestron.
— Regarde discrètement par le fenestron.
Je m’avançais à pas de loup, nous prenions garde à bien rester dans la pénombre de la nuit.
Là, je vis ma belle-mère qui avait déjà enlevé son haut et qui s’apprêtait à dégrafer son soutien-gorge noir. Mon érection reprit de plus belle.
— Ça te plaît mon chéri de voir ma mère nue ?
— Je bande comme un salaud, ça m’excite et toi ça te plaît ?
— Je mouille comme une chienne.
Ma belle-mère, ignorant notre présence, dégrafa son soutien-gorge, et offrit à ma vue sa belle grosse paire de seins. Ils étaient énormes, avec de beaux tétons et de belles aréoles. Je m’imaginais les lécher, les masser, me branler avec. Elle aurait pu faire une cravate de notaire à un cheval avec des nichons pareils.
Maintenant, elle baissa sa jupe vers le sol, ses seins pendants. Puis en se ...