1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (35)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... s’écroula en l’espace d’une seconde. J’aperçus des sortes de reflets dans le couloir, réalisant qu’il s’agissait d’un danger imminent.
    
    Ma grand-mère à l’aide de sa lampe de poche cherchait les toilettes. Pour ne pas allumer le luminaire du couloir, la brave femme l’utilisait de peur de réveiller quelqu’un. Ni une ni deux, j’abandonnai ma sublime partenaire en me cachant sous le lit. Véro de son côté tira le drap sur elle pour se recouvrir. Je ne bougeai plus et je soupçonnai ma grande blonde de faire semblant de dormir. Après un court instant, la chasse d’eau des toilettes se fit entendre, instant très romantique. Puis les reflets réapparurent pour finalement se dissiper une fois la porte de sa chambre fermée.
    
    Tels deux garnements, nous gardions nos places respectives et notre calme par la même occasion. Le temps ne s’écoulait plus de la même façon avec des minutes voire des secondes devenues interminables. Un silence de plomb régnait dans la pièce et nos souffles étaient à l’arrêt. A la manière d’un cambrioleur, j’inspectai les lieux à l’écoute du moindre bruit suspect dans le couloir. Puis, à pas feutrés, je décidai de reprendre ma place initiale. Une fois assis à ses côtés, je reçus des invectives d’une rare violence.
    
    — Alors ? Qu’est-ce que j’avais dit ! c’était complètement débile ! ah c’est malin, un peu de plus et mamie nous voyait (elle tira le drap cette fois jusqu’au cou, me signifiant son mécontentement)... tu peux aller te coucher, ça vaudra mieux. ...
    ... Dit-elle furibonde.
    
    — On pouvait pas prévoir... je te rappelle que tu m’avais dit que tu étais furax de ne pas pouvoir te faire sauter ce soir et en plus tu étais excitée. Lui rétorquai-je avec des mots maladroits, tout en restant assis sur le bord du lit.
    
    — Plus maintenant et si c’est pour me parler de cette manière, je préfère en rester là ! Tant pis pour ce soir et va donc dormir... pff... tu me sauteras demain soir pour parler comme toi et chez nous ! s’énerva-t-elle en se retournant, fâchée du drame évité de justesse.
    
    — Merde ! On croirait que c’est de ma faute ! T’es gonflée de me dire ça... hé je te parle ? En la prenant par l’épaule, elle me fit volte-face subitement pour me remballer définitivement.
    
    — Patrick, ça suffit et je t’ai dit d’aller te coucher, maintenant fous-moi la paix ! S’agaça-t-elle en tapotant son oreiller énergiquement.
    
    — OK, OK, si tu le prends comme ça, on ne fait plus rien. Lui rétorquai-je exaspéré par son attitude.
    
    — Ne joue pas à ce petit jeu avec moi ! (elle saisit mon poignet en se découvrant) pour qui tu te prends ? Je ne suis pas à ta merci pour une partie de jambes en l’air quand tu le désires, non, mais ! Je pourrais être ta mère et c’est toi qui vas décider quand il faut que tu me baises ? Je ne l’accepte pas et dorénavant c’est moi, tu m’entends ? C’est moi qui déciderai si tu as le droit de me baiser ou non et puis avec tes conneries, on a failli être surpris par mamie, alors ça ira pour ce soir ! s’insurgea-t-elle dans ...
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