1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (35)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... l’attendons pour l’apéro (en lui donnant une caresse dans le cou, elle se montra préoccupée) à cette heure, les garçons doivent être en train de manger chez tes parents (elle se décida à l’enlever en le dégrafant, exhibant ainsi ses seins au repos) ah je respire ! s’exclama-t-elle.
    
    — Ils sont beaux.
    
    — Moi je les trouve trop petits. Me contredit-elle d’un air contrarié.
    
    — Non, tu as des seins toniques, ils débordent d’énergie (elle gonfla sa poitrine en décroisant ses jambes) hé ma charmante Véro aimerait de gros câlins sur ses jolis petits seins ? En prononçant cette phrase, elle haussa les épaules, autant résignée que séduite par ma proposition.
    
    — On avait dit qu’on ne ferait rien chez mamie, euh caresse-moi un peu et si on entend du bruit, je fonce dans la salle de bains. Me prévint-elle avec le buste droit en jetant son sous-vêtement sur la table basse.
    
    Véronique se contredisait tant dans ses paroles que dans ses gestes. A vrai dire, elle m’amusait dans son comportement de sainte-nitouche. Elle m’allumait avec une sacrée arrogance, mais ne se décidait pas à faire le premier pas. Elle se contentait de soupirer sous l’effet de mes mouvements, lesquels débordaient par moments sur ses flancs. Elle appréciait mes caresses à la base de ses seins, toujours aussi fière intérieurement de plaire à un jeune mec de mon âge. A force de la peloter, elle s’adossa et me murmura dans un souffle.
    
    — Embrasse-moi Patrick. Exigea-t-elle en entrouvrant la bouche.
    
    Le mot ...
    ... caprice appartenait à sa personnalité et je n’avais pas oublié sa phrase prononcée hier soir, à savoir qu’elle et elle seule s’octroyait le droit de me donner la permission de la toucher. Du fait de notre étreinte à peine consommée de notre dernière nuit, Véronique m’embrassait telle une sauvage et notre baiser reflétait parfaitement la symbiose existante entre cette femme et moi. Elle partageait une partie de mon patrimoine génétique et la gynéco ne s’était pas trompée. Elle nous avait révélé que notre attirance mutuelle quasi hors-norme n’était que le fruit de notre consanguinité.
    
    Ma belle blonde s’en donnait à cœur joie et se laissait caresser de toute part. Totalement embrasée, elle termina notre baiser en accolant sa joue contre la mienne. Echaudé par notre aventure d’hier, je m’emparai de son soutien-gorge qui traînait sur la table, pour le mettre dans ma poche tant bien que mal. Véro, sans perdre de son assurance me mit en garde, consciente de la situation risquée.
    
    — T’oublies pas que mamie va rentrer (elle se cambra généreusement, m’indiquant clairement ses intentions) prends le sein droit, tu sais donc que c’est celui que je préfère. Me dit-elle en m’enlaçant la nuque.
    
    — Oui (j’accédai de bonne grâce à sa requête en me penchant vers l’objet du désir) et pour ce soir ? En lui posant la question, ma langue virevolta autour de son aréole, provoquant un bourdonnement de plaisir chez son heureuse propriétaire.
    
    — Wow ! tu me fais languir... hum...(je lui mordillai ...