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Séduction délicate de la soeur de ma mère (35)
Datte: 06/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... (elle se mit debout face à moi et s’arrangea sa coupe de cheveux), mais je regrette de t’avoir traité de petit con, je ne le pensais pas... han, ne me dis pas que tu es fâchée contre moi ? Me demanda-t-elle en tirant sur sa jupe fripée. — Non, mais à une seule condition. Répliquai-je. Sous son regard interrogatif, j’attirai ma belle quadra face à moi. Elle se tenait debout, les bras ballants, et se posait la question. Qu’allait-il se passer encore, qu’allait-il encore me faire ? J’étais resté assis et en faufilant mes mains sous sa jupe, j’attrapai son slip pour le faire adroitement descendre le long de ses cuisses. Cette fois Véro protesta et s’indigna, jugeant que ce genre de pratique ne lui convenait plus. Maintes fois elle m’avait confié ce sempiternel refrain, à savoir qu’elle avait passé l’âge de se retrouver nue sous ses vêtements et que je n’étais pas à sa place. Mais son comportement odieux d’hier soir l’empêcha de se soustraire à mon désir et tout en maugréant, elle s’agrippa à mes épaules pour ne pas perdre l’équilibre. Elle souleva une à une ses jambes et une fois sa culotte à terre, elle pesta un dernier coup. — Donne-moi ça ! (elle m’arracha son slip des mains) hrr... je suis bonne pour me balader à poil devant maman toute la soirée ! bon je vais aller le mettre dans la valise et ne me demande rien de plus. Me lança-t-elle furibonde. Mamie rentra catastrophée. La concierge lui avait annoncé une fuite d’eau dans sa cave et la pauvre femme ignorait ...
... les dégâts causés. Malgré sa fatigue, elle voulait descendre vérifier l’étendue du désastre. Bien entendu, je me portai immédiatement volontaire. Tremblante d’énervement, elle m’indiqua comment y aller. Elle s’adressa à sa fille qui y était déjà allée, laquelle se proposa de m’accompagner. Ainsi, nous nous retrouvâmes dans la cage d’ascenseur qui se stoppa net au rez-de-chaussée. Il nous fallut emprunter les escaliers pour nous rendre au sous-sol, cas typique des vieux immeubles haussmanniens. Ma grande blonde, guère rassurée me prit le bras, tout en me guidant dans un couloir sombre et voûté. En arrivant à la cave numéro huit, j’ouvris délicatement la porte. — Allume la lumière Patrick, j’ai une de ces trouilles (la vieille ampoule jaunâtre nous apporta un minimum de luminosité) bah je ne vois rien ! s’exclama-t-elle en restant derrière moi. — Si ! Là-bas, dans le coin, ça goutte, reste là. Lui suggérai-je. Cette fois je m’avançai seul sur le sol trempé. J’avais beaucoup de qualités, mais la plomberie appartenait à un domaine me passionnant avec modération. La fuite provenait d’un robinet ancestral et à l’aide d’une pince trouvée par miracle, je parvins à stopper l’écoulement. Véronique, admirative de mon œuvre s’approcha pour m’enlacer. En reposant l’outil sur une étagère, elle se serra contre moi en me murmurant ses remords à l’oreille. — T’es vraiment génial, tu sais tout faire et... enfin je suis à cran en ce moment, tout m’énerve (elle passa ses doigts fins ...