1. Coralie découvre la vie (2)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: tmdec, Source: Xstory

    ... complètement ! Tu en fais des tonnes alors que tu as une poitrine parfaite ! Cédric te le répète souvent, de ce que tu me dis ! Puis ça se voit d’ici ! argumentais-je en rentrant dans son jeu.
    
    — Tu n’as qu’à constater par toi-même !
    
    C’est alors qu’elle prit ma main et la déposa directement sur l’un de ses seins, en me faisant malaxer sa poitrine fermement. Je ne pus retirer ma main de ces deux boules bien fermes. L’ambiance était devenue très détendue, et la tournure que prenait l’après-midi m’excitait beaucoup. Elle porta son regard sur mon corps, mes jambes puis s’attarda sur mon entrejambe, ce qui m’intrigua :
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne voulais pas que je prenne ce bas ? demandai-je.
    
    — Non du tout ! C’est plutôt le contenu du bas qui m’intrigue ! Tu t’épiles ou tu te rases à cet endroit ?
    
    — Oh et bien je m’épile, je trouve ça plus doux ! répondis-je, gênée cette fois-ci. Et ça n’allait pas s’arranger avec sa question suivante !
    
    — Ah oui ? Je rase moi, et je trouve ça doux ! J’aimerai comparer, je peux ?
    
    Le trouble était total dans ma tête. Je ne savais pas quoi répondre et j’avais peur qu’elle découvre mon intimité, quelque peu humide à cause de la situation. Puis je n’étais pas attirée par les femmes. Mais cette situation me poussait à accepter, et je feins un « oui », gênée, avec un sourire discret. Faustine s’approcha de moi, et décala mon bas de maillot de bain pour avoir accès à mon pubis. Elle se contenta de caresser le haut de mon sexe et ne ...
    ... toucha pas mes lèvres qui devaient être bien chaudes et humides. Je fus rassurée, puis elle me proposa de comparer aussi. Après une brève caresse de mon intimité, elle se leva, prit ma main, mit de côté son bas de maillot de bain et plaque ma main sur son sexe. J’étais gênée, mais si excitée que mon geste se fit délicat, et je caressai le pubis de mon amie. Il est vrai que la douceur de sa peau était comparable à la mienne.
    
    La sensation de chaleur que dégageait la peau de Faustine me plaisait, et je commençai à éprouver du plaisir de la situation.
    
    Le voyant, la jeune fille prit ma main et la descendit quelque peu, jusqu’à ce que mes doigts rencontrent ses lèvres. Voyant ma surprise, elle s’empressa de justifier son geste :
    
    — Je ne sais jamais si mon sexe est bien rasé, tu en penses quoi ? J’ai peur qu’il soit trop « piquant » !
    
    — Euh eh bien ! Je le trouve assez doux ! fis-je, un peu désabusée.
    
    Alors que je m’attendais à ce que Faustine lâche ma main, ça ne fut pas le cas. Au contraire, elle fit glisser ses doigts sur les miens, et exerça une douce pression sur mon index, ce qui le fit glisser sur son clitoris, entre ses lèvres, qui étaient elles aussi, bien chaudes et humides. Plus la situation se réchauffait, et moins je la contrôlais. J’étais un pantin, avec lequel Faustine jouait. Son regard croisa le mien, et, voyant que je n’opposais aucune résistance, elle entama un léger frottement de ma main sur son sexe. Je sentais sa mouille, chaude et visqueuse se ...