1. Je fais ma salope dans le bus, pour me faire... (1)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Lussy, Source: Xstory

    ... parfaite de mettre en avant le piercing qui orne mon nombril, un petit bijou simple à embouts ronds, pavés de strass.
    
    Avec cette chaleur, je ne m’embarrasse pas plus à mettre de soutien-gorge. De toute manière le but de ma visite chez Leïla est de faire d’autres essayages vestimentaires, inutile de s’encombrer.
    
    Un peu de déo. et il ne me reste plus qu’à enfiler une paire de chaussures basses, blanches, et me voilà partie.
    
    Houla, le simple fait de marcher en cette tenue jusqu’au bus m’a provoqué une certaine excitation. Un frottement fort agréable sur mon clitoris, du tissu de mon short qui s’est glissé entre les deux lèvres de ma moulette. Cela a même pour effet de commencer à l’humidifier.
    
    J’arrive pile-poil à l’heure pour prendre le bus régional qui s’arrête sur la place de l’église de mon village. Ce bus m’emmène directement dans la plus grande ville voisine (chef-lieu du département) à environ 30 minutes de trajet.
    
    Il y a peu de monde, de nombreuses places sont libres. Malgré tout, un type suintant de sueur, taché de partout, et sentant le saindoux s’installe à côté de moi. Son aspect dégoûtant et nauséabond me répugne jusqu’à la limite du haut de coeur.
    
    Avant que le bus ne démarre, je me lève pour changer de place. Etant côté fenêtre je dois passer devant ce porc qui ne se bouge même pas pour me laisser passer. Je passe dos à lui pour éviter son regard. Il fait exprès de s’étaler pour que l’arrière de mes genoux vienne en contact avec les siens. ...
    ... Je me retrouve obligée de me cambrer pour lui offrir ainsi une vue imprenable sur mon postérieure. De surcroît, il se penche, mon cul ne doit pas être bien loin de sa tête, son nez.
    
    Je sens le souffle de son haleine fétide sur mon popotin. Il prend une grande inspiration comme s’il cherchait à capter l’odeur de ma moulette toujours en chaleur humide du frottement de mon short sur mon abricot. Herck, il me dégoûte.
    
    J’ai repéré un groupe de trois garçons, de mon âge environ, assis sur une même rangée côte à côte. L’un des garçons étant sur le fauteuil côté couloir, il me reste donc la place côté fenêtre. Parfait !
    
    Le jeune homme, en parfait gentleman, se lève pour me laisser passer en faisant bien attention, lui, de m’offrir tout le confort pour m’installer. Rien à voir avec l’autre porcin.
    
    Je le remercie, le bus démarre.
    
    Le garçon à côté de moi est plutôt mignonnet. Châtain clair aux yeux bleus, il porte un tee-shirt ajusté et imprimé du groupe Muse qui met bien en valeur sa morphologie. Bermuda et chaussure Vans, je ne remarque aucune faute de goût.
    
    Tout en discutant avec ses amis, assis dans la rangée d’à côté, mine de rien, son genou frôle régulièrement ma cuisse. Ne me voyant pas réagir à ce stade, il devient de plus en plus entreprenant, place sa main côté intérieur de ma cuisse puis remonte et descend gentiment.
    
    Avec délicatesse je lui prends la main pour l’enlever. Il ne faut pas exagérer quand même.
    
    Bien évidement, ma tenue ne le laisse pas ...