1. Elisa (3)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... es magnifique, tu es mon idéal féminin, je rêve de rencontrer une fille comme toi, c’est peut-être pour ça que je suis toujours seul, des nanas foutues comme toi, ça ne court pas les rues, et en plus elles doivent être intelligentes, comme toi !!!
    
    — Je n’en connais qu’une, mais elle est lesbienne.
    
    — Tu veux parler de Virginie ?
    
    — Oui.
    
    — Tu sais que je suis dingue de cette fille, c’est exactement le genre de fille avec qui j’aimerais faire ma vie, belle, épanouie, intelligente, je sais qu’elle est lesbienne, mais je ne peux l’enlever de ma tête, elle hante mes nuits.
    
    — Je suis désolée.
    
    — Pas autant que moi, vous êtes toujours amantes ?
    
    — Oui, toujours.
    
    — Mais tu aimes quand même les hommes ?
    
    — Bien sûr, je veux me faire dépuceler, faire l’amour avec des hommes, fonder une famille, mais j’aime aussi beaucoup cette relation avec Virginie, c’est d’une grande douceur.
    
    — Elle est vierge ?
    
    — Oui, mais je ne sais pas si elle veut perdre sa virginité.
    
    — Ça serait étonnant.
    
    Maman arrive de faire quelques courses, nous l’aidons à tout ranger, ce qu’il y a de pratique ici, c’est qu’on n’est pas obligé de tout ranger en fin de saison, on y vient pratiquement toute l’année, nous ne sommes qu’à deux heures de route, on a passé plusieurs réveillons ici, sur la terrasse. Nous sommes arrivés à Toulouse le dimanche vingt-neuf août, le mardi suivant, Virginie arrive à Matabiau en milieu d’après-midi, nos retrouvailles sur le quai ont été chaudes, nous ...
    ... sommes restées bouche à bouche plusieurs minutes, j’en ai entendu des vertes et des pas mûres sur les gouines, les salopes, les putes, mais on s’en foutait, tout à la joie de se retrouver. Elle avait trois valises et a dû prendre un voyage avec porteurs, surtout qu’elle a dû changer de gare à Paris, il a fallu qu’on prenne un taxi. Elle est folle de joie quand elle voit le studio, elle dispose d’une petite cuisine, d’une salle de bain et de w.c. indépendants, un vrai petit appartement.
    
    Elle m’enlace et me fait tomber sur le lit. C’est un lit à deux places, papa, connaissant notre liaison, a remplacé l’ancien à une place. Je suis en minijupe, mes jambes s’ouvrent dévoilant mon sexe nu. Je ne porte plus de sous-vêtements depuis que j’ai eu mon bac, c’était un deal avec maman, qui elle aussi n’en porte jamais. Elle se jette dessus, je ne mets pas une minute pour jouir. Je la retourne, lui ouvre les jambes, elle a un petit slip complètement détrempé de mouille que je fais valser en une seconde pour me jeter sur son sexe ruisselant. Je m’abreuve de sa cyprine que j’adore, elle aussi était en attente, elle jouit en une minute. Nous revenons à nous, nous levons et rangeons ses affaires. Je vois qu’elle a des slips et des soutiens-gorges.
    
    — Je te préviens, pas de ça avec moi, cul nu sous ta jupe et seins libres, comme moi, je veux avoir accès à tes fesses, comme tu as accès aux miennes.
    
    — J’ai vu que tu étais comme ça, mais moi, je ne l’ai jamais fait, ce n’est pas le style chez ...
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