1. FANTASMES AU TELEPHONE


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds

    ... remonté le long de mes cuisses redressant ma jupe, afin de divulguer mes portes jarretelles. D’autorité il baissa ma culotte, écarta mes cuisses et me pénétra de son sexe libéré. Il me souleva du sol maintenant mes cuisses au-dessus de sa taille, tout en gardant ses mains posées sur mes fesses. Sa langue toujours occupée à fouiller ma bouche, je ne pouvais émettre aucune protestation. Il me laboura méthodiquement ne me laissant pas reprendre mon souffle. Son sexe était immense et d’une raideur peu commune, je me sentais remplie, par quelque chose d’irréel. Quand enfin je pus reprendre mon souffle je lui dis :
    
    - Albert non pas ici on va nous surprendre, emmène-moi chez toi vite
    
    Il me prit par la main, et me traîna vers l’ascenseur. Une fois dans l’ascenseur. Il appuya sur le 4eme étage, mais arrivé au second il appuya sur le bouton stop. «Suces moi maintenant ». Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche vers son sexe, qu’il introduit dans ma bouche. « Vas y applique-toi, suce-moi comme on suce une bonne glace ». Je passai ma langue autour de son bâton de chair, compressant mes lèvres contre sa hampe, ou mordillant son gland. « C’est bien tu es une bonne petite butineuse, les bourgeoises comme toi sa adorent sucer des grosses queues de black comme la mienne ». La vulgarité de ses commentaires ne faisait que renforcer mon excitation. Il enfonça son sexe entièrement dans ma bouche dont il se servit comme d’un sexe, me baisant la bouche tout en me maintenant par ...
    ... les cheveux, afin que je ne puisse refuser cette fellation. Pendant que je le suçais, il découvrit ma généreuse poitrine, devant laquelle il s’exclama admiratif. «Tes seins sont comme je les avais rêvées, gros et tellement appétissant, je veux que tu me branles la bitte avec. Je lui pris son sexe entre mes seins, et m’appliquai à le masturber. Au bout d’un certain temps il me releva et me dit «arrête on va finir chez moi ». Il relança l’ascenseur. Arrivé à l’appartement, je fus entraînée dans la le salon, et couchée sur le canapé. Sans aucune attente et préliminaire Albert me pénétra. Ma chatte était tellement humide, que je me retrouvais empalée sous mon amant sans aucune résistance. Il enchaîna des vas et vient rapide et lent, m’emmenant au bord de l’épuisement tellement ma jouissance était rapide et intense. Quel amant magnifique, il n’avait même pas besoin de me caresser pour éveiller mes sens, son énorme pieu dur comme de la pierre qui me labourait la chatte suffisait à me faire atteindre le septième ciel. J’étais couchée sous lui yeux fermés, l’imaginant me fixant du regard, de ses yeux troublants.
    
    - T’as jamais était prise comme ça hein ?
    
    - Ohhhh mon dieu c’est trop, tu me rends folle
    
    - Regarde-moi, je veux te voir jouir, et le lire dans tes yeux
    
    Il continua, remonta entièrement mes jambes au-dessus de ses épaules afin de mieux me pénétrer, tout en me maintenant par les hanches pour mieux coulisser au plus profond de mes entrailles. Mon souffle et mes cris ...
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