Série « Les voisins » Épisode 4 : Sabine, Carine et Thomas. Partie 1/2
Datte: 05/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... à mal. Je tremblais de peur mais en même temps, je désirais qu’elle me frôle, qu’elle me touche.
Une fois avoir enfilé mes dessous, elle m’admira, me fit faire un tour sur moi-même et me complimenta : « Que tu es belle Sabine. » Me dit-elle en posant ses deux mains sur mes hanches. Une petite voix dans ma tête me disait de la repousser, mais mon désir fut plus fort, quand ses mains étaient remontées sur mes seins, j’avais fermé les yeux et lui tendis mes lèvres. Après ce court baiser plein de tendresse, elle m’embrassa dans le cou, sa bouche était descendue lentement vers mes seins. Très vite son visage s’était retrouvé entre mes cuisses sans que j’esquisse le moindre geste, je lui caressais ses cheveux, je désirais que ce moment s’éternise encore et encore. Malheureusement, la voix de la vendeuse nous interrompit. En se relevant, Carine pencha sa tête à mon oreille et me dit :
— Je t’aime Sabine.
— Je crois que moi aussi. Lui dis-je en la prenant à bras le corps pour un baiser passionné.
Après cet intermède, nous avions hâte de nous retrouver seules, dans la voiture je lui expliquai que je ne n’avais jamais touché une femme, que j’aimais les hommes et que j’étais en manque de leur sexe : « Tu es donc Bi ma chérie, exactement comme moi. » Arrivée sur le palier, je l’attirai chez moi et nous nous étions directement dirigées vers ma chambre. Nous nous étions dévêtues mutuellement très sensuellement tout en nous embrassant et en nous caressant. Allongée nue sur le ...
... lit, les jambes repliées, J’ouvris mes cuisses où le visage de Carine vint immédiatement s’y réfugier pour finir ce qu’elle avait commencé une heure plus tôt.
Elle me complimenta sur l’entretien parfait de mon entrejambe et tout en me léchant la fente jusqu’à mon clitoris, elle enfonça sa langue avant d’y enfiler un doigt. Je gémissais, je ne pouvais pas lui parler, je fermais les yeux, ma bouche était ouverte, je sortais des sons inaudibles. Deux doigts prenaient possession de mon vagin, je mouillais fortement, c’était exquis d’autant plus qu’avec son autre main, elle massait délicieusement mes seins et me pinçait de temps à autres, les tétons à tour de rôle. J’étais tellement trempée, que nous entendions le clapotis lorsqu’elle actionnait ses doigts. Lorsqu’elle qu’elle joua avec un troisième dans mon vagin j’avais explosé de plaisir. Elle s’était relevée pour venir m’embrasser à pleine bouche :
— À demain mon amour.
— Mais et toi ma chérie ?
— Thomas m’attend, t’inquiète, je jouirai à mon tour dans un moment.
Tout était allé très vite, après seulement un mois, nous trouvions un moment pour nos câlins coquins, cela me faisait beaucoup de bien, j’en avais besoin. Cependant, il me manquait toujours la puissance d’un homme et je dois avouer, que je rêvais secrètement de Thomas. Ce samedi-là, après avoir pris du plaisir dans les bras de Carine, je m’étais aventurée à lancer une petite allusion à ce sujet. Nos chambres étant en vis-à-vis, je lui dis que j’entendais ...