COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (2/2)
Datte: 04/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
J’ai eu la chance de faire le service chez le marquis de Gras et d’y rencontrer le fils de la maison.
Firmin, petit gros qui rapidement a été surnommé Gras double.
À 30 ans, il est toujours couvé par sa mère.
Je veux me sortir des galères que je vis étant de condition modeste, je porte mon dévolu sur lui malgré les difficultés.
C’est au café où il prend son petit déjeuner que je décide de passer à l’attaque finale.
J’ai amorcé mon affaire lors du cocktail ou je servais et ou je l’ai repéré.
Petit bouffit, à la limite de l’embonpoint, avec un léger strabisme qu’il cache derrière de grosses lunettes noires.
Je repère ses habitudes et c’est dans le café qu’il rejoint chaque matin entre le domicile de ses parents où il habite toujours et la banque de papa qu’il est censé reprendre dans quelques mois.
Ses parents vont prendre leur retraite à Marbella en Espagne dans une villa donnant sur la plage.
La vie de château à laquelle j’aspire.
Certaines filles que je connais avec la beauté qui est là leur, se sortent de notre milieu en vendant leur cul comme escorte.
J’aurais pu suivre cette voie, étant capable de sucer un black pour des renseignements, mais c’est le chemin du mariage que j’ai décidé d’emprunter avec ce toutou à sa maman.
Maman, c’est là où le bât blesse, un vrai cerbère même si elle est bien conservée pour une femme avoisinant la cinquantaine.
Lors de la réception dans leur hôtel particulier ou avec quelques malices que je dirais ...
... sexuelles, j’ai réussi à être présente.
Dans le beau linge présent, tous pesant plusieurs millions d’euros, mais dans la valetaille, le bas peuple, les gens que ces rupins ignorent, même si certains crèvent de faim.
Serveuse chez le traiteur, je devais promener des coupes de champagne qui devaient devenir ma première arme de persuasion.
Verre et plateau au sol dans un fracas incommensurable et du liquide sur le pantalon de ma proie.
C’est à ce moment que j’ai découvert l’étendue du massacre.
Non, dans son pantalon, avec mes doigts tenant la serviette que je tamponne sur le corps du délit, semble très prometteuse.
Moi qui sans être une pute adore le sexe et surtout celui des hommes, je sens une bite hors du commun et au repos qui plus est.
Même si j’arrive à mes fins et à ma faim, je risque de passer un moment des plus sympas.
Verre et plateau, un à zéro pour moi, car me traitant de gourgandine, car j’ai effleuré le sexe de son garçon, je la remets fermement en place, certainement donnant dans le même temps mon nom à ce garçon.
Deuxième attaque au café du matin, qu’il prend immanquablement à la même heure, au même bistrot, à la même table.
Ayant trafiqué le talon très haut de ma paire de chaussures choisie dans les plus éculées que je possède, mais porte-bonheur pour moi.
Ce sont les talons que j’avais lors de la réussite à mon bac, lors de la soirée ou j’étais allée et que ce bel Andalou m’a dépucelée.
Je dis Andalou, mais peut-être était-il, ...