1. Isabelle découvre l'infidélité pour Noël


    Datte: 02/12/2022, Catégories: f, fhh, extracon, fête, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, confession, extraconj, Auteur: Isabelle bcbg et si chaude, Source: Revebebe

    ... ainsi sans aucune culotte. Enfin le rangement commença, j’y participai de bon cœur et cela allait vite, je dis au revoir à un tel ou une telle quand soudain après le départ du dernier j’entendis la voix de Pierrot dire tout haut :
    
    — Alors, Isabelle, tu le retires ce gilet, qu’on matte enfin tes gros seins !
    
    Paniquée je regardai autour de moi pour voir… Ouf ! il n’y avait vraiment plus que Pierrot, Olivier et moi, j’en fus tellement soulagée qu’abandonnant toute réflexion et telle une automate, je retirai aussitôt le gilet tant pour assumer cette envie irrépressible de me montrer que pour avoir moins chaud. Mes tétons crevaient le soutien-gorge et le chemisier blanc, ils m’en faisaient mal et dès que je sentis les yeux de mes deux partenaires les reluquer cette douleur si plaisante s’étendit à toute ma poitrine ! Les deux hommes étaient contre moi et Pierrot en siffla d’admiration :
    
    — T’as vraiment une sacrée paire de nibards, ma belle.
    
    Puis il me tendit un nouveau verre de champagne que je bus d’un trait, il me resservit puis s’en alla un court moment fermer la porte extérieure de la salle pour que nous soyons bien tranquilles. Olivier de son côté n’était pas resté inactif, il tamisa l’éclairage, vira les chants lyriques de Mozart qui faisaient l’ambiance en sourdine pour les remplacer par une série de slows plus forts et surtout langoureux à souhait. La salle paroissiale si chaste se transformait en boîte de nuit privée ! Pierrot quitta sa veste et sa cravate ...
    ... et m’invita à danser, je me laissai faire et rapidement me plaquai contre lui, tellement je me sentais un peu paf, mais si bien ! La salle tournait un peu autour de moi. Je sentis aussitôt une véritable barre bien dure s’appuyer contre le bas de mon ventre, je murmurai :
    
    — Dis donc, Pierrot, je te fais de l’effet, mon vieux cochon !
    
    Et à ce moment-là, je réalisai qu’il était carrément en train de me peloter les fesses, mais j’avais trop bu, j’avais tellement envie et faim de caresses que je contentai de frotter mon ventre et le haut de mes cuisses à cette barre si dure, oui si dure. Je fermais les yeux, j’étais si bien, trop bien. J’ouvris les lèvres pour laisser sa langue me pénétrer, elle était si douce et chaude que je mélangeai aussitôt la mienne à la sienne. Puis je sentis deux autres mains sur mes fesses, c’était génial et je les reculai doucement pour les frotter à une autre barre tout aussi dure, mais que je sentais à la fois plus grosse et plus haute (normal vu la taille d’Olivier).
    
    Nous ne bougions plus et j’avançais et reculais mon bassin pour frotter fermement et alternativement mon ventre et mes fesses à ces deux sexes mâles ; redécouvrant des sensations qui m’avaient tellement manquées et qui maintenant devenaient impératives : il me fallait jouir, et jouir vite et peu importe que ce fut avec deux hommes, j’étais prête à tout pour mon plaisir immédiat et tant attendu.
    
    Je laissai sans hésitation Olivier dégrafer ma jupe qui tomba par terre et que ...
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