Le coiffeur de ces dames (2)
Datte: 01/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... quelques instants, j’obtiens de nouveau ma récompense.
Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant au fond de ma gorge de dépravée avide de sexe.
— Ummmllppp ! Putain ! Tu es un rapide, toi.
Je libère la bête, mais à ma grande surprise, Annie se jette sur la teub toujours érigée et en à peine une minute, en obtient un troisième tribut.
— Mais, tu es pire qu’un lapin, toi ! Un lapin aux couilles bien pleines cependant !
Dommage, la séance est finie, un peu plus longue que d’habitude, sûrement. Je vais recommander cet établissement à toutes mes copines, enfin... celles qui aiment les gros sucres d’orge.
Dominique :
Et c’est ainsi que les femmes se sont succédé jusqu’au départ d’Annie. Puis un jour, elles sont venues à deux, même parfois à trois. Je me suis fait traire comme un troupeau de vaches.
Trois copines, Barbara, Odette, Diane.
Diane :
Nous sommes trois copines inséparables et avons pris rendez-vous pour connaître le « phénomène ».
Une fois dans la salle, Barbara se dévoue pour passer sur la table, retirant son pantalon et son string pour laisser œuvrer Dominique.
Odette et moi ne perdons pas plus de temps et retirons le pantalon de Dominique, les yeux fixés sur le caleçon qui laisse entrevoir une bosse déjà prometteuse. Bande-t-il déjà ? Je glisse une main dans le slip, mais Odette le prend à deux mains et le baisse d’un seul coup. Nous contemplons avec stupéfaction une verge des plus normales au repos. Nous a-t-on ...
... menti ?
Il a l’air correctement monté, mais sans plus. Je suis quand même émoustillée et prends la verge d’une main, la sentant presque immédiatement gonfler et se raidir entre mes doigts sous mes papouilles. La limace bien ordinaire croît à une vitesse exponentielle et devient un bâton, ou plutôt un arc, vu sa forme. Comment une bite peut-elle s’allonger autant ? C’est pas Dieu possible !!!
Dominique est souriant et s’applique à sa tâche, rasant consciencieusement les poils pubiens de Barbara, comme s’il faisait une coloration dans le salon, ne prêtant aucune attention à ce qui se passe sous la table.
Je regarde maintenant l’énorme bite que dévore Odette après l’avoir longuement masturbée pendant que ma main droite va-et-vient sur le reste de la hampe courbe aussi rapidement que je peux.
Odette :
La queue tendue palpite devant mon visage. Des spasmes contractent ma chatte quand j’imagine un tel mandrin pénétrant ma fente et sa tête mafflue labourant mes muqueuses, s’enfonçant profondément dans ma grotte, allant et venant dedans en butant à chaque fois le fond si sensible.
J’empoigne avec ivresse cette jeune verge extrêmement dure, je suis tout émoustillée de serrer la saillie de Dominique, de la sentir frémir au creux de ma main et entreprends de masser entre mes doigts la longue excroissance virile tendue à l’extrême. Le contact de ce sexe bandé contre ma paume m’excite follement, je lui murmure mon admiration :
— Mon Dieu, quel beau morceau !
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