PLAN TRIO POUR UN APRES MIDI TRIO...
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... ses gros seins. Une paire d’enfer. Lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche.
- Retrousse ta jupe, veux-tu… montre ce que tu caches en dessous…
Les cuisses apparaissaient, le slip immaculé qui soulignait le renflement du sexe. Cette Nathalie me faisait tourner la tête. Elle obsédait mon esprit d’idées folles. Ne tenant plus, je n’avais pas pu résister de me lever de ma place, et de m’avancer jusqu’à Nathalie, dont son visage était écarlate. Mais avant de poser mes doigts sur ce corps, je devais avoir la bénédiction du mari. Que je reçus d’un signe de tête. Je passais vicieusement ma main sous l’élastique de la culotte. Mes doigts cheminaient dans la forêt de poils fins et doux, qu’ils tiraient puis faisaient mine de les friser. Continuant leurs chemins, ils trouvèrent le clitoris durci, gorgé de malice, qu’ils dégageaient de son capuchon. Mon majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. La femme respirait bruyamment, ouvrait et refermait les cuisses. Ses yeux révulsés par la jouissance. Satisfaite de la tête aux orteils.
Mes doigts abandonnaient le bouton devenu trop sensible son petit bouton, pour continuer mon exploration. Ma main avait trouvé la fente et sentit les petites lèvres qui dépassaient, s’ouvraient, puis le trou béant du vagin brûlant. C’était d’abord mon majeur qui pénétra, suivie de l’index et enfin l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de sa personne. Un massage lent et ...
... circulaire. Nathalie remua de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant des bruits obscènes de liquide qui mouillait le fond de la culotte. La femme se donnait à ma main. Poussa de petits cris plaintifs. Écartant ses cuisses tant qu‘elle le pouvait alors que ma masturbation devenait de plus en plus effrénée.
Elle avait joui à plusieurs reprises, avant que je l’allonge sur la table basse. En bois massif. Je profitais de sa position pour la déculotter, la déchausser. Lui massant lentement la voûte plantaire voilée dans du nylon moite de sueur. Elle agita ses orteils odorants. Je me penchais au-dessus, inspirant profondément le fumet qui s’en dégageait. Tout ça sous les yeux ébahi du mari. Je crus défaillir de bonheur. Je n‘avais pas pu m‘abstenir de promener ma langue sur la plante du pied. Un goût de sueur très salé emplissait ma bouche. Je lapais onctueusement ce pied nylonnée, observant la réaction de sa propriétaire, dont les yeux étaient fermés. Semblant être en transe.
Par la suite, vif, et passionné, je plaquais mon visage contre son sexe. Ma langue s‘insinua entre ses lèvres. L’explorant profondément. La léchant comme un animal. Sa fente dégoulinait. Ses cuisses s‘ouvraient. Ses orifices se dilataient. J’étais de plus en plus fougueux, aventureux. Je me défis pour me prendre en main.
Son regard avait changé. Elle était moins sage. Plus cochonne. Et je l’aimais comme cela. Son mari s’en était aperçu et essayer d’intervenir. Mais elle demanda ...