1. Ceci n'est pas une p...


    Datte: 29/11/2022, Catégories: fhhh, candaul, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, caresses, facial, Oral préservati, double, Partouze / Groupe champagne, confession, initiat, Auteur: MandS, Source: Revebebe

    Récit inspiré d’une histoire vécue et d’une Histoire d’O.
    
    Damien emmène Virginie dans un quartier de Bruxelles où elle n’est jamais allée. Ils sont invités à visiter le Musée Magritte.
    
    Après s’être garés le long de la Rue Royale, ils aperçoivent une berline sombre que devance une étoile à trois branches.
    
    — Monte, dit-il, c’est notre voiture pour ce soir.
    
    Elle monte. Ce n’est pas loin de la nuit, et c’est l’automne. Elle est vêtue comme il le veut : des chaussures noires avec de hauts talons, des bas couture, un tailleur strict à jupe plissée, mais l’inévitable chemisier blanc est absent. Elle porte dans le sac Furla qu’il lui a offert, ses papiers et son téléphone.
    
    Il l’a voulue désirable, elle l’est.
    
    La voiture part doucement, sans que Damien ait dit un mot au chauffeur.
    
    — Tu es embarrassée, donne ton sac.
    
    Elle aime ce nouveau jeu qu’il lui propose.
    
    Elle le donne, il le pose hors de portée d’elle, et ajoute :
    
    — Tu es trop habillée. Enlève tes bas.
    
    Virginie est surprise, mais excitée par le désir qui monte. La voiture roule plus vite, et elle a peur que le chauffeur ne se retourne.
    
    Les bas sont roulés, et elle est gênée de sentir ses jambes nues et libres.
    
    — Ôte ton string.
    
    Cela, c’est facile, il suffit de passer les mains derrière les reins et de se soulever un peu. Il lui prend le string des mains, ouvre le sac et l’enferme avec les bas, puis dit :
    
    — Il ne faut pas t’asseoir sur ta jupe, il faut la relever et t’asseoir ...
    ... directement sur la banquette.
    
    La banquette est en cuir, douce et froide, c’est saisissant de la sentir coller aux cuisses.
    
    Le véhicule roule toujours, et elle n’ose pas demander pourquoi Damien ne bouge pas, et ne dit plus rien, ni quelle signification cela peut avoir pour lui, qu’elle soit immobile et muette, si dénudée et si offerte, dans une voiture noire qui va elle ne sait où. Il ne lui a rien demandé, mais elle n’ose ni croiser les jambes ni serrer les genoux. Elle a ses deux mains appuyées de chaque côté d’elle, sur la banquette.
    
    — Voilà, dit-il tout à coup.
    
    Voilà : la voiture s’arrête dans une belle avenue, sous un arbre – c’est un platane – devant une sorte de petit castel qu’on devine entre cour et jardin, comme ces villas Art Nouveau dessinées par Victor Horta. Les réverbères sont un peu loin, il fait sombre encore dans la voiture, et dehors, il pleut.
    
    — Ne bouge pas, dit Damien. Ne bouge pas du tout.
    
    Il allonge la main vers le col de sa veste, défait un bouton. Elle penche un peu le buste, et croit qu’il veut lui caresser les seins. Non. Il tâtonne seulement pour saisir et trancher avec un petit couteau les bretelles du soutien-gorge, qu’il enlève. Elle a maintenant, sous la veste qu’il a un peu refermée, les seins libres et nus comme elle a, nus et libres, les reins et le ventre, de la taille aux genoux.
    
    — Écoute, dit-il. Maintenant, tu es prête. Je te laisse. Tu vas descendre et sonner à la porte. Tu suivras qui t’ouvrira, tu feras ce qu’on te ...
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