1. Mon fils à moi (1)


    Datte: 29/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: pascale ex, Source: Xstory

    Bonjour,
    
    Je m’appelle Pascale, et cette histoire se passe, il y a déjà fort longtemps. En effet, je venais de divorcer, durement, et j’avais à charge mon fils que j’avais du mal à canaliser du fait de mon métier. Bien sûr, mon ex ne faisait rien pour m’aider et je dus affronter bon nombre de bêtises de la part de Loïc pendant un long moment. Pour bien comprendre la situation, il faut que vous sachiez que j’étais, à l’époque, infirmière dans un CHU dans une ville de province, et que je ne travaillais que la nuit. Ceci, afin de pouvoir être présente au moins l’après-midi pour mon fils. Loïc était un jeune garçon assez ingrat, puisqu’à l’époque, il était en surpoids, et qu’il n’était pas rare qu’il déjeune avec des chips et du coca.
    
    J’avais beau le sermonner, il n’en faisait qu’à sa tête, arguant bien entendu de la situation de divorce qui l’empêchait, disait-il, de voir son père (tu parles).
    
    Bref, une vie difficile pour une femme comme moi, qui en plus était en proie aux affres du manque de sexualité nécessaire à mon âge. J’étais pourtant ce que l’on appelle bien foutue. Grande (1m72), mince avec de longs cheveux bruns et de grands yeux bleus, et pour les connaisseurs une poitrine qui tenait toute seule. J’avais bien quelques occasions au travail, mais c’était régulièrement un petit coup à la va-vite dans le service. D’ailleurs, je prenais ce qui passait, me jetant aussi bien sur un collègue que sur un malade. D’ailleurs, cela finit par se savoir et m’attirer des ...
    ... ennuis. Cette vie dura comme ça pendant six mois et c’est à l’anniversaire des 18 ans de Loïc, que cela commença à changer un peu. Ce jour-là, je voulus faire plaisir à Loïc, et nous sommes allés dans un restaurant, puis à la fête foraine où, paraît-il ses copains l’attendaient.
    
    C’était une belle journée printanière, et j’avais passé une jupe plissée ample s’arrêtant à mi-cuisses, ainsi qu’un tee-shirt très échancré sous les bras qui laissait entrevoir mon soutien-gorge dès que je levais les bras.
    
    Tout se passa très bien, et apparemment, le copain de mon fils me réserva un accueil peut-être un peu trop appuyé maintenant que j’y repense, et surtout, après toutes les messes basses qu’ils ont pu échanger avec mon fils. Nous rentrâmes, et la semaine reprit son cours. Je travaillais donc le mardi soir, comme à l’accoutumée, et je rentrais dormir le mercredi matin, jour de congé des lycéens. J’allais donc me coucher vers six heures, après avoir constaté que Loïc dormait. Il faut savoir que j’ai l’habitude de dormir nue, ce qui est important pour ce qui a suivi. En effet, vers neuf heures, je suis à demi réveillée par un bruit feutré, qui n’était autre que l’ouverture de la porte de ma chambre. Je vis entrer mon fils marchant sur la pointe des pieds et qui s’approcha du lit.
    
    Je ne fis pas un mouvement, attendant de savoir ce qu’il voulait, mais il n’essaya pas de me réveiller. Au contraire, il commença à faire glisser le drap sur mon corps, jusqu’à ce qu’il ne me recouvre plus. ...
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