An afternoon in Maastricht (1)
Datte: 28/11/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: lubrique, Source: Xstory
... pas, car je ne tenais pas à assouvir ses pulsions de puceau. Je l’ai regardé d’un air sévère, il n’a pas tardé à partir.
Lorsque nous sommes allés au comptoir, afin de régler nos achats, mon mari a également payé 2 places pour le cinéma situé au sous-sol.
Nous y sommes descendus et, dans la pénombre, avons distingué un homme tout au fond de la petite salle. De loin, il paraissait avoir une bonne quarantaine d’années et je fis la moue. Malgré tout, nous nous sommes assis au second rang et avons commencé à regarder le film qui passait.
Dix minutes plus tard, le bonhomme du fond n’avait toujours pas quitté sa place, il faut avouer que nous ne l’encouragions pas, car nous restions fort sages.
Tout à coup, la porte s’ouvrit, et là, j’ai gagné au loto ! Un vieux, mais vraiment vieux (au moins 70) est entré. Il a fait le tour de la salle d’un coup d’œil et, sans hésiter, est venu s’asseoir juste derrière moi.
Mon mari s’est penché vers mon oreille et m’a susurré: "je crois que tu vas être contente".
Effectivement, j’étais ravie et prête à le tenter afin de combler ma libido.
Me laissant légèrement descendre sur mon siège, j’ai écarté les jambes pour que mon homme puisse y glisser sa main entre mes cuisses et me caresser.
Excitée, j’ai fermé les yeux et me suis mise à imaginer ce qui allait ...
... peut-être suivre. Je commençais à prendre un certain plaisir lorsqu’un bruit m’a fait rouvrir les yeux, il s’agissait d’un autre pépé qui entrait. Décidément, c’était mon jour de chance.
J’ai refermé les yeux et ai laissé la main de mon homme, ainsi que mon imagination vagabonder.
Il ne fallut pas longtemps avant que je ne sente une paire de mains se poser sur mes épaules puis descendre sur ma poitrine, même si je ne voyais rien, je savais qu’il ne s’agissait pas de celles de mon mari puisqu’une d’entre-elles fouillait mon intimité.
Afin de marquer ma soumission, j’ai laissé ma tête s’appuyer sur le dessus du dossier et ai ouvert la bouche légèrement pour laisser de petits râles s’exprimer.
Avec une infinie douceur, les mains ont relevé ma blouse et l’une d’elles a pénétré mon SG. Quelques instants de tripotage puis elle en est ressortie pour, accompagnée de la seconde, me remonter mon SG et dénuder mes seins.
Le gars de derrière était en train de me les pétrir lorsque j’ai senti qu’on me touchait du côté droit, c’était l’autre pépé qui venait de s’asseoir.
Mon homme retira sa main et se mit à genoux pour m’ôter ma petite culotte avant de passer au-dessus du siège de devant pour y prendre place comme voyeur et laisser libre cours à mes 2 partenaires (qui furent bientôt 4 ! ).
A suivre