La bourgeoise et le marabout (53)
Datte: 26/11/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Il est un peu plus de 17h00 lorsque je gare ma voiture avenue Doumer pour faire quelques courses à la supérette G20. Une fois le paiement effectué du parcmètre, je me précipite dans la boutique, me saisis d’un panier et me voilà partie dans les rayons. Ma petite liste dans une main et mon panier dans l’autre, je sillonne les allées du magasin. Du sucre ici, de l’huile là-bas, une salade et des fruits ailleurs ..., mon panier se remplit vite et commence à être un peu lourd.
Me voici au rayon des produits ménagers et il me faut un flacon de savon noir. Malheureusement, je ne peux pas l’atteindre, car ceux qui restent sont tout en haut de l’étalage. J’ai beau tendre le bras vers le haut, me grandir sur mes jambes et profiter de mes hauts talons, impossible d’y arriver. C’est à ce moment-là qu’un jeune s’approche de moi et me dit.
— Bonjour Madame, me permettez-vous de vous aider ?
Je lui fais un grand sourire et lui réponds.
— Avec plaisir jeune homme, je n’arrive pas jusqu’en haut.
Evidemment, bien qu’il soit un peu maigrichon avec ses 70 kilos environ, il fait au moins 1m80 et n’a aucun mal à attraper mon flacon de savon noir. Comme j’ai posé mon panier par terre, je m’accroupis pour déposer le flacon avec mes autres achats. Placé en face de moi, mon aimable serviteur reluque sans vergogne mes jambes et nul doute qu’il doit apercevoir la lisière de mas bas sous ma robe un peu courte. Lorsque je me relève, il me dit.
— Votre panier est bien lourd, je vais vous ...
... le porter le temps que vous finissiez vos courses.
Je le remercie pour son offre que j’accepte, car la situation est plutôt cocasse. Je lui dis que je m’appelle Hélène et lui se présente comme Mathieu, 21 ans, étudiant en licence dans une fac parisienne.
Nous voici donc repartis tous les deux dans les rayons, moi avec la liste en main et lui m’escortant avec le panier. Evidemment, je remarque tout de suite qu’il ne me quitte pas des yeux, me reluque la poitrine et la croupe. Histoire de voir sa réaction, je me dirige vers le rayon de lingerie, car, bien qu’il n’y ait pas énormément de choix dans un magasin de ce genre, je suis surprise de voir sa réaction.
Je regarde les strings et autres culottes, mais je ne vois rien de terrible. Je dis à Mathieu.
— Il n’y a vraiment pas un choix terrible ! Tout cela n’est pas très sexy !
Il rougit un peu et ne répond rien. Je lui demande alors.
— Pendant que nous sommes là, pourriez-vous voir si vous me trouvez une paire de collants noirs opaques 15 deniers.
Il me répond que oui et me tourne le dos pour chercher dans le rayon derrière celui des dessous.
Lorsqu’il revient, il me tend une boîte et me dit.
— Je n’ai pas trouvé de collants, mais je suis sûr que ces bas noirs Dim Up vous conviendront très bien.
Je lui réponds.
— Monsieur semble être un connaisseur en bas !
Il me rétorque.
— C’est beaucoup plus sexy que des collants, ne trouvez-vous pas ?
Il pique un fard lorsque je relève légèrement ma ...