Les révélations d'Alyssa (2)
Datte: 25/11/2022,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Pattie, Source: Xstory
... retira son slip faisant jaillir une magnifique verge longue et épaisse, je fus comme électrisée. De mon côté, je m’étais débarrassée de ma robe, de mon string et de mon soutien-gorge, il ne me restait que les sandales lacées à talons, et je me mis à genoux sur le sol devant lui. Je pris l’initiative en saisissant sa bite, je la caressai de la main puis, la sentant durcir, je titillai le méat du bout de ma langue et décalottai le prépuce pour l’exciter.
Lorsque je sentis que sa verge était bien dure, je l’engloutis dans ma bouche de plus en plus profond, allant et venant langoureusement puis plus rapidement. J’étais au septième ciel de sentir le plaisir qui montait dans ce sexe puissant. Andy me repoussa doucement, me releva et m’allongea sur le canapé, me releva les fesses et reposa mes pieds sur ses épaules, il lubrifia ma rosette avec de la salive, mit un préservatif, présenta sa bite à l’entrée de mon puits d’amour et me pénétra lentement, amoureusement.
Je me sentis remplie par ce sexe chaud et ardent, un peu meurtrie, mais comblée. Je savais être réactive sur le plan anal, mais Andy réussit à me faire mouiller du cul comme la chatte d’une fille en chaleur. Il me baisa ...
... pendant un long moment, me faisant hurler de plaisir dans cette position, puis il me mit en levrette, me pelotant les fesses pendant sa chevauchée, je me sentis femme comme je ne l’avais jamais ressenti. Il s’assit sur le canapé et je m’empalai sur son sexe, montant et descendant comme une folle, ma petite bite battant sur mes couilles, il explosa dans mon fondement, un jet de foutre puissant inondant le préservatif. Il le retira, et je me précipitai pour nettoyer sa verge avec ma langue et surtout pour goûter en petite gourmande à son sperme, j’appréciai aussitôt un délicieux et quasi indétectable bouquet de saveur d’agrume, de poivre et de foin.
Décidément ce mec me plaisait bien jusqu’au goût de son sperme, qui selon mes expériences certes encore peu nombreuses, témoignait de la véritable nature d’un homme.
— Toi ma puce, tu avais le feu aux fesses ! me dit en souriant Andy alors que j’étais blottie contre lui comme une petite chienne contre son maître. Je te donne mes coordonnées, ce serait vraiment chouette de se revoir. Qu’en penses-tu ?
J’acceptai volontiers et lui expliquai que je serais de retour à Valence en septembre comme interne en classe de terminale de mon lycée.