1. Une première exhibe innocente mais très ambiguë


    Datte: 24/11/2022, Catégories: fh, couple, magasin, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Luciano69, Source: Revebebe

    C’était l’été, il faisait chaud. Nous étions en vacances, mon épouse s’accordait un peu plus de liberté quant à sa tenue. Ce jour-là, elle portait un haut blanc, un peu échancré et pour ma plus grande joie, pas de soutif…
    
    Le décolleté était normal, sans plus, mais selon les positions de mon épouse, la vue pouvait être très agréable. Par habitude et par pudeur, elle cachait toujours son décolleté lorsqu’elle se penchait.
    
    Mais ce jour-là, nous devions aller en grande surface et je me suis dit que ce serait peut-être différent, car je ne pouvais pas l’aider, souffrant d’un terrible lumbago. Je devais me contenter de pousser le chariot.
    
    La liste de course était longue et il y avait du monde. Nous parcourions les rayons, mon épouse prenait les différents articles et les déposait dans le caddie. Plus ça allait, plus je remarquais que mon épouse, absorbée par les achats, prenait de moins en moins de précautions vis-à-vis de son décolleté, pour mon plus grand plaisir.
    
    Le moment le plus fort fut l’instant où elle prit à deux mains un lot de boîtes pour les déposer dans le fond du caddie. Waoouuhhh ! Que ce fut beau ! Certes, furtivement, mais distinctement, ses deux seins libres qui se balançaient sous son top étaient bien en vue.
    
    D’autant plus que ma femme était bronzée, mais, non adepte du topless, ses seins étaient bien blancs, donc très visibles. Quel régal !
    
    Plus ça allait, plus mon épouse, malgré elle, offrait selon sa position une vue imprenable sur son ...
    ... décolleté.
    
    Je commençais à avoir chaud, voire même très chaud. Ma femme me parlait, j’étais un peu ailleurs, je prétextais que j’avais mal. Ben voyons !
    
    Je ne disais rien tant le spectacle était agréable à regarder. D’ailleurs je me rendis compte très vite que je n’étais pas le seul à vouloir en profiter.
    
    Je remarquai la présence d’un homme qui nous suivait ; il prenait des articles dans les rayons, les remettait en place tout en essayant de glisser un œil dans le décolleté de mon épouse. J’étais très flatté. Je ne sais pas ce qui m’a pris : alors que cet homme était à proximité et bien placé, je demandai à femme de vérifier la date de consommation d’un article qu’elle avait déposé. Elle le fit, mais, pas de chance pour nous, elle mit la main devant sa poitrine pour se pencher dans le caddie. Déception ! Le monsieur continua ses achats et disparut.
    
    J’étais déçu… je continuais à pousser le chariot qui se remplissait. Moins de vue imprenable, mais je ne me lassais pas pour autant de voir, au rythme de ses pas, le balancement de ses seins qui frottaient le tissus. Je souris, car je les vis pointer à travers l’étoffe. Surtout au passage des rayons réfrigérés… mais ça, c’était anatomique !
    
    Fin des achats, passage en caisse, beaucoup de monde, et il commençait à faire chaud.
    
    Ma femme me demanda si je préférais aller à la voiture pour me reposer, je déclinai cette proposition, vous vous doutez pourquoi… on ne sait jamais !
    
    Enfin, c’est à nous. Ma femme se positionna ...
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