1. Un voyeurisme qui tourne en candaulisme forcé pour Bruno.


    Datte: 23/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Le voyeurisme de Bruno tourne au candaulisme forcé quand il se rend compte que le jeune étalon laboure Lucie, son ex femme. 1
    
    Je m’appelle Bruno, je sais que c’est difficile à vivre pour ma femme Lucie, mais je ne peux m’empêcher de la tromper dès que c’est possible. D’ailleurs, mon mariage est en train de voler en éclat. (Pour ceux qui voudraient avoir plus de détails, il faudra lire ou relire les premiers épisodes de cette saga : Mon beau-père fait mon éducation sexuelle).
    
    Jean, mon père, a été un peu comme moi mais s’est assagit. Je sais pourtant qu’il a gardé des connexions dans ce milieu. Je sais qu’il est toujours ami avec monsieur Paul qui tient un lieu d’échanges, et il court un bruit en ce moment sur un de ses poulains qui serait plutôt un véritable étalon. Sûrement encore un grand black... J’ai tellement tanné mon père que je vais pouvoir accéder à ce lieu de débauche, mais uniquement comme spectateur lors d’un des passages de son nouveau poulain.
    
    Je suis donc reçu dans cette maison cossue au fond d’un grand parc isolé. (Chapitres 6 ;7 ;8 ;9). A mon coup de sonnette, on ouvre la porte. C’est un jeune homme malingre, de stature mince, presque délicat, qui me conduit après m’avoir demandé mon nom dans une pièce borgne.
    
    -Vous êtes le premier arrivé monsieur. Suivez-moi, s’il vous plait.
    
    Ce gamin boutonneux atteint péniblement le mètre 65 et je me demande ce qu’il fabrique là, c’est peut-être le petit-fils du proprio ? Il me dit qu’il se prénomme Claude ...
    ... et m’explique l’usage de cette pièce après une phrase bizarre:
    
    - Vous voyez ces deux boutons ? Le premier sert à transformer ce grand miroir en vitre sans tain, le second active ce haut-parleur pour entendre ce qui se passe dans la pièce d’à coté. Et ce joystick commande les caméras disséminées dans la pièce et leur zoom.
    
    Puis il quitte la pièce, j’entends un clic, je vais voir à la porte, elle est bouclée, il m’a enfermé ce petit con ! Bon…puisque je suis là, autant en profiter puisque je suis venu pour ça, je m’approche du miroir et bascule les deux boutons. Dans la pièce d’à coté, une africaine, une vraie bombe, accompagnée d’une asiatique sont occupées à donner du plaisir à deux basketteurs vu leur taille, un blanc et un noir. La proportion de leur instrument est en conséquence, même un peu plus. Avec mon mètre 73 et ma bite d’à peine quinze centimètres, je ne fais pas le poids. Mais tout le monde ne peut pas être BOLT ou FEDERER… Je n’en éprouve donc pas de la jalousie ou de l’envie en regardant non pas un seul étalon comme je m’y attendais mais deux…
    
    Une porte s’ouvre et je vois mon Cicérone entrer et venir s’asseoir dans un fauteuil, prendre une revue comme si rien d’exceptionnel ne se déroulait dans la pièce et se plonger dans la lecture. Qu’est-ce que ce petit con vient faire là-dedans ?
    
    Le blanc s’occupe des seins volumineux de la négresse, sa bouche et ses mains s’activent sur la poitrine généreuse. La scène commence à m’exciter, j’observe les caresses ...
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