1. Un cours très spécial à l'université (5)


    Datte: 23/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... que je suis.
    
    Je sens sa chatte se contracter de plus en plus sur ma verge, sa jouissance ne va plus tarder.
    
    Elle pousse des feulements de lionne qui a attrapé sa proie quand tout son corps se tend comme un arc. Telle une amazone décochant une flèche, sa jouissance explose, un orgasme accompagné de sa voix cristalline sur le point de se rompre, comme sa raison, la transcende une nouvelle fois, déchargeant tout ce qu’il lui reste de liqueur autour de mon nœud. Quel festival !
    
    Je la laisse reprendre son souffle, mais je n’en ai pas fini avec elles.
    
    Elle reprend sa respiration, le spectacle de son fessier me donne une immense envie d’enculage.
    
    Un besoin irrépressible de déplacer ses organes internes avec ma queue. Mais je veux choisir la première que je vais troncher, je demande à Agnès de me montrer son cul, ce qu’elle fait sans aucune hésitation.
    
    Elles ne savent pas encore que j’ai envie de leur cul. Mais quand je les informe de mes désirs, Agnès me rétorque illico :
    
    — J’espère que le fait d’enculer tes profs te motivera pour avoir de meilleures notes en cours. Mets-moi ta queue au fond de mon cul.
    
    Elle n’a pas fini sa phrase que sans préambule, j’explose son sphincter avec mon sexe, elle crie un peu avant de gémir de plaisir quand mes balloches claquent mollement contre sa fente. Quelle situation incroyable où je me trouve en train d’enculer ma prof de maths. Quand la pointe de mon gland est venue appuyer sur ses petites coulisses toutes serrées, ...
    ... j’ai eu une once d’hésitation, mais pas Agnès, elle a elle-même tiré sur ses fesses pour mieux me laisser la sodomiser. La poussée n’a pas été sans effort, mais je n’étais manifestement pas le premier à prendre ce chemin de traverse.
    
    — Putain Madame Agnès, vous êtes si ouverte que je n’ai même pas eu besoin de lubrifier !
    
    Elle se cambre encore plus et je recommence à cogner au fond de son cul. J’y vais doucement avec beaucoup de tendresse. Je suis à fond de cale et la fais tanguer sur mon chibre pendant qu’elle lâche des insanités de vieux loup de mer. Je la travaille quelques minutes avant d’aller voir sa collègue. Elle me supplie :
    
    — Vas-y doucement, je suis novice.
    
    Je dirige mon chibre vers l’anus serré de Sylvie J’imagine la vision qu’elle doit avoir, je la sens excitée et très fébrile, tendant ses fesses vers l’arrière le plus haut possible comme pour une invitation, souriant jaune à l’idée de ce qui l’attend. Mais je n’arrive pas à franchir la porte.
    
    Agnès s’approche avec une bouteille de lubrifiant, prend ma verge et l’enduit copieusement avec après l’avoir rapidement léchée, pas dégoutée de l’endroit d’où elle sort, puis oint copieusement l’anneau de Sylvie. Elle relaie ensuite Sylvie en prenant ses fesses à pleines mains pour les écarter, me montrant une vue panoramique sur l’entrée de service de ce cul magnifique.
    
    Je la tiens fermement par les hanches, mon bélier prêt à enfoncer sa porte. Je présente le gland et pousse énergiquement pendant qu’Agnès ...