Notre pote Paul (2) - Histoires de Sexe

Notre pote Paul (2)

... amis, je voulais vous dire un truc par rapport à l’autre fois, j’ai vraiment adoré, mais j’ai peur que pour nous.

— Tu as peur ? répond Laura.

— Oui, je m’explique, je vous adore, je vous considère comme un frère et une sœur. Je ne veux pas qu’il y ait de malentendus.

— Ahahah ne t’inquiète pas mon pote. Je vois très bien ce que tu veux dire. En gros, tu n’aimerais pas qu’on se sépare avec Laura à cause de ce qu’on a fait ?

— Oui voilà, de mon côté, je tenais à ce que cela soit clair.

— C’est entendu, dit Laura, après on a fait que des préliminaires. Et puis ne te vexe pas, mais t’es canon et gentil et t’as une énorme bite. Mais je ne pourrais pas sortir avec toi, nos caractères ne sont pas compatibles. Tu te rappelles l’an dernier au camping ?

— Oui, dit Paul.

— Et bien, je ne te supportais plus, dit-elle en riant.

— Pareil pour moi. Vous êtes des super potes, je suis content que vous pensiez comme moi.

— Oui mon poto, on est sur la même longueur d’onde. Donc on peut baiser ensemble, mais pas de sentiment d’amour, répondis-je en riant également.

— Vous avez encore envie de baiser avec moi ? dit Paul.

— Oui.

— Et bien, il faudra qu’on s’organise un truc bien, dit-il en riant.

— Exactement, dit Laura.

Nous arrivons à la soirée et tout se passe bien jusqu’à ce que Paul finisse dans un état pitoyable. Nous sommes obligés de le ramener.

Nous l’installons sur la banquette arrière, bien attaché.

Devant, Laura est d’humeur coquine. ...

... Elle me chuchote à l’oreille : « Je te suce et quand on rentre, tu me baises !! ». A ce moment-là je remercie Paul dans ma tête.

J’acquiesce et elle commence à me sucer. Je bande comme un fou. Elle fait ça tellement bien. Elle fait des va-et-vient de plus en plus rapides. Je n’en peux plus, je lui jouis dans la bouche. Elle avale jusqu’à la dernière goutte de relève, me fait un petit bisou et me dit je t’aime.

J’ai vraiment trouvé la perle rare.

Nous décidons de ne pas déposer Paul chez lui, car son état mérite d’être un minimum surveillé.

Nous arrivons à la maison. Nous l’installons dans le canapé, on lui retire son pantalon et son tee-shirt.

— Ma chérie, t’as vu la taille de sa bite au repos ?

— Oui c’est impressionnant.

— Tu as vraiment envie qu’il te la mette ? Ça ne va pas te faire mal ?

— Je suis habitué à ta grosse bite donc ça va aller, t’inquiète. Elles font la même grosseur toutes les deux.

— Oui c’est vrai. D’ailleurs, je crois que tu m’as demandé quelque chose toute à l’heure ?

— Oui c’est vrai.

Je la prends par la main et l’emmène dans la chambre.

Je la plaque sur le lit, relève sa robe et décale son string. Je commence à la doigter en me couchant sur elle. Elle est déjà trempée, la bite de Paul la rend dingue. Une fois le terrain bien préparé, je rentre ma bite dans sa chatte trempée et je démarre un va-et-vient intense. Elle perd vite pied et commence à crier de plaisir. Je malaxe ses fesses pendant que je la pénètre. Elle me ...