1. Spectacle érotique à domicile


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... oui !
    
    — Dis que tu baises !
    
    — Oui oui je baise !
    
    — Tu es vengée de ton mari, hein
    
    — Oui oui !
    
    — Tu l’aimes sa bite ?
    
    — Oui oui !
    
    — Dis que tu aimes sa bite
    
    — J’aime sa bite, j’aime sa bite !
    
    — Venez la terminer au lit, ordonna le notaire à Marc.
    
    Suivant leur hôte, le couple provisoire déambula nu jusqu’à une chambre dont le lit avait été ouvert. Karine suivait, observant l’attitude de la Portugaise, son regard luisant de désir, son épaisse chevelure noire qu’elle avait libérée de son chignon, sa démarche un peu lourde, ses fesses en mouvement, ses seins en suspension, son abondant système pileux frétillant lorsqu’elle s’allongea en écartant les jambes, en attente, ses longs cheveux noirs étalés sur l’oreiller. Marc la pénétra sans transition sous le regard conjoint du notaire et de Karine et la Portugaise croisa ses chevilles sur ses reins, manifestant ainsi sa totale adhésion à l’accouplement. Les rotations savantes de Marc lui arrachèrent une nouvelle fois un flot de paroles incompréhensibles à des oreilles non portugaises, à l’exception d’une phrase qu’elle répétait : "tu es dur... tu es dur..." Et quand il fut évident qu’elle connaissait l’orgasme, Marc la percuta virilement avant de se détacher et d’éjaculer contre ses lourdes mamelles qu’elle frotta avec énergie. Des applaudissements éclatèrent : ceux du notaire débraguetté.
    
    "Bravo ! bravo !" s’exclama-t-il. Si Amalia en avait eu pour son plaisir, son employeur en avait eu pour son ...
    ... argent. Et c’est ainsi que Marc et Karine s’en revinrent chez eux avec 500 euros en poche.
    
    **************
    
    Les plus étonnés de la nouvelle prospérité des deux comédiens étaient leurs propres collègues. Mais leur curiosité se heurtait à un mur. Certains suspectèrent de la prostitution mais ne pouvaient évidemment pas le prouver, d’autant que c’en était pas vraiment. Marc et Karine jugèrent néanmoins prudent de ralentir leurs activités annexes, jusqu’au jour où le couple qui les avait déjà sollicité et qui avait fait l’amour à côté d’eux les appela pour une nouvelle séance, avec à la clé la somme rondelette de 1000 euros. Toujours en dette de cachets, les deux comédiens n’hésitèrent pas longtemps.
    
    L’homme était anesthésiste, la femme cadre, tous deux âgés d’une cinquantaine d’années et vivant dans une maison bourgeoise cossue. Visiblement très portés sur le sexe, ils disaient avoir beaucoup apprécié la "prestation" de Marc et Karine et envisageaient "d’aller plus loin". Il s’agissait d’inverser les rôles. Michel et Mylène (leurs prénoms) feraient l’amour devant eux. Les voyeurs devenaient acteurs et les acteurs devenaient voyeurs. Dans un premier temps, les comédiens jugèrent qu’il s’agissait d’argent facilement gagné, même si le voyeurisme passif n’était pas trop leur tasse de thé. Ils acceptèrent et s’installèrent dans les fauteuils du salon face à une banquette en angle censée accueillir les ébats du couple hôte.
    
    L’homme était du genre sportif, mince, le crâne dégarni. ...
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