Les vacances de Romain (5) - Histoires de Sexe

Les vacances de Romain (5)

... subir.

Son maquillage est foutu, mais cela ne semble pas l’inquiéter du moins du monde. Elle ramasse le mélange de bave et de mes sécrétions sur ses seins pour ravaler cette mixture qui lui semble un nectar si précieux.

— J’ai vu que tu n’allais pas jusqu’au bout de ta queue. Tu restes encore trop protecteur avec moi. Je pense que tu aurais pu me limer de toute la longueur ...

Elle me cherche cette salope, c’est incroyable comme elle repousse les limites.

Ni une ni deux, je la relève pour l’installer sur le tabouret qui se trouve autour de l’ilot.

Elle se laisse faire et je dispose ses fesses bien en retrait par rapport à l’assise. Quand elle comprend ce que je vais faire, elle se cambre au maximum.

— Alors comme ça, je prends trop de pincettes ma petite salope.

— Je t’ai déjà dit de ne pas me ménager...

Sa phrase n’est pas encore terminée que j’ai introduit ma queue directement au fond de son rectum. Encore avec moins de précautions que pour sa bouche, encore moins d’amour et de tendresse, juste un geste animal sans aucune humanité.

— Tiens ma petite chienne, là, tu vas avoir du mal à la ramener.

Je lui éclate sa rondelle comme un forcené. La hauteur du tabouret et sa position sont juste parfaites. Sa tenue rouge écarlate a le don de décupler ma bestialité tel un taureau dans l’arène. Je dégage ses seins du soutien-gorge pour lui agripper et pouvoir la culbuter encore plus fort.

— Va falloir te trouver une sacrée excuse, vue comment tu vas ...

... boiter ma salope !

Je n’éprouve même pas d’inquiétude vu comment elle m’a chauffé jusqu’à présent, et ses dires me confirment cela :

— Putain de fils de pute, vas-y, t’arrête pas de m’enculer. Déboîte-moi comme la dernière des truies. Ta salope de maman est vraiment un trou sur patte et tu l’utilises comme un pro. Allez, vas-y, montre-moi comment on traite les salopes dans mon genre. Putain vas-y déglingue-moi les boyaux.

Elle hurle ses saloperies et cela me donne toujours plus de vigueur pour la ramoner.

— Je sens ton énorme queue qui tape contre mon ventre, c’est monstrueux. Je suis la pire des salopes en chaleur, j’adore ETRE TA PUTE !

Elle vide littéralement un litre de cyprine à terre en criant.

J’ai passé mes mains sur son bas-ventre. Effectivement, je ressens chaque coup de pilon déformer son ventre et je presse celui-ci à chaque fois que j’arrive au fond.

Je ressors ma bite de son cul complètement déformé pour voir l’état de son orifice après un tel traitement.

Je lui demande d’écarter ses fesses et elle le fait mécaniquement. Elle passe ses doigts sur sa rondelle pour apprécier encore plus le traitement qu’il a subi.

Je jette un coup d’œil à l’horloge, et clairement, il faut que je termine mon labeur. Je l’encule encore d’un coup sec et j’entame une chevauchée, comme si ma vie en dépendait.

Ma mère me crie comme une folle :

— Putain achève-moi ! remplis les intestins de la truie qui te sert de mère. Farcis-moi au sperme !

Mon corps ...