1. De la vierge à la salope (4)


    Datte: 19/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    Un petit préambule pour celles (ou ceux) qui s’étonneraient de me voir me faire baiser sans capotes. Ces souvenirs remontent à 60 ans, à l’époque bénie où le sida n’existait pas, où les MST étaient plutôt rares, et certains moyens de contraception existaient déjà.
    
    Quinze jours ont passé depuis le bal du 14 juillet. Quand je pense à la manière dont je me suis conduite, j’ai honte, mais en même temps, je suis toute excitée. A chaque fois, c’est la même chose. Je revois ces grosses bites, et ma chatte mouille instantanément. Je me rends compte que j’aime sucer une belle bite, et que je n’ai plus d’a priori contre la sodomie. Après ma soirée chez Isabelle, l’envie de bites était de plus en plus grande. Isabelle ne manque pas de m’inviter, elle a décidé de s’occuper de moi. Pour l’instant, son but est de m’initier aux amours entre filles. Une autre découverte pas désagréable.
    
    Je me réveille, la chatte en feu. Toute la nuit, j’ai rêvé que j’étais prise par plusieurs mecs. J’ai tellement joui dans mon sommeil que ma chatte est béante, trempée, ma rosette est dans le même état. Ce n’est pas possible, il me faut de la bite.
    
    Norbert est parti au service militaire, je ne vais pas le voir pendant 6 mois. Je ne vais pas pouvoir rester si longtemps sans baiser. Isabelle est partie en vacances, je suis seule avec mon besoin de baise. Je décide de partir en chasse. C’est la première fois que je vais draguer. Je ne sais pas trop comment faire, mais je me dis que pour une femme, c’est ...
    ... plus facile, il suffit de se montrer disponible, et de laisser faire.
    
    Je me prépare avec soin. Douche, lavement (je veux être propre de partout, prête à tout). Je me maquille soigneusement, soulignant mes yeux de manière à mettre en valeur leur couleur bleue, insistant sur ma bouche pour accentuer l’épaisseur de mes lèvres, pour en faire une vraie bouche de suceuse. Je maquille également mes tétons. Un chemisier très léger dont je laisse les deux derniers boutons ouverts, une minijupe blanche et ample. Pas de culotte.
    
    Je me rends sur les grands boulevards sur lesquelles je déambule. Le vent qui caresse ma chatte nue me maintien dans un état d’excitation permanent, ce qui fait bander mes tétons qui pointent sous mon chemisier quasi transparent. Je sens les regards de tous les mâles me déshabiller. J’accentue mes déhanchements ; les hommes me sifflent, mais personne ne tente quoi que ce soit.
    
    Deux hommes, la quarantaine, s’approchent de moi et me demandent mon tarif. Surprise : ils m’ont prise pour une pute. Il est vrai qu’il y en a quelques-unes qui arpentent le boulevard.
    
    Je proteste :
    
    — Je ne suis pas une pute, mais j’ai envie de baiser.
    
    — C’est vrai ? Où veux-tu aller ?
    
    J’hésite un instant, suivre deux inconnus. Ce n’est pas top, mais j’ai trop envie d’une bite. Alors deux !!!
    
    — A l’hôtel ?
    
    — OK.
    
    Ils sont ravis.
    
    Nous voilà à l’hôtel. Un des deux hommes, celui qui semble le plus décidé, s’approcha de l’accueil, il parle avec le concierge. Je ...
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