1. Transfert sexuel.


    Datte: 18/11/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    En sortant du buraliste je tombais sur Manu. Il m’avais glissé qu’il avait à me parler. Je n’avais pas du tout envie d’entendre ses vantardises. Alors que pour ma part j’en avais moi aussi à lui exposer si je voulais. Mais ce n’était pas dans mes gênes de me vanter.
    
    - Pourquoi es-tu parti comme un voleur l‘autre jour ? Si tu avais vu comme je l’ai pinée. Trois fois de suite, oui mon vieux trois putain de fois. Ça valait vraiment le coup. Et puis, elle était tellement ouverte que tu aurais pu en profiter avec moi.
    
    - Ça ne me disait rien.
    
    - Tu parles… Il faut que tu saches qu’avec moi, Nathalie fait tout ce que je lui demande. Ah, j’oubliais. Les parents organise un pique-nique. Tu es invité, si cela te dit. Nous décollant dans une heure.
    
    Comme je ne répondais pas, il s’écarta avant d’ajouter :
    
    - Viens merde ! Mes parents t’aime bien comme tu le sais. Cela leur fera plaisir que tu viennes.
    
    - Bon ! C’est d’accord !
    
    - Super !
    
    - Je vais prévenir mes parents.
    
    En montant les escaliers je tombais sur Brigitte la voisine du premier. Qui se montrait à chaque très désagréable à mon égard. Elle avait toujours quelque chose à me reprocher. Je m’étais bien garder d’en faire part à mes parents. Pour ne pas que cela ne dégénère pas en conflit de voisinage.
    
    Arrivés sur le lieu de pique-nique, les femmes avaient déjà installé les tables sur les tréteaux dans la cour d’une ferme allouée pour le fait. Elles les avaient recouvertes de nappes en papier blanches. Les ...
    ... plateaux étaient surchargés d’assiettes, de couverts, de verres. Nous étions bien une trentaine de convives. Il y avait des voisins, de la famille à Manu. Mais pas de Maria, et cela pour mon plus grand désarrois.
    
    Il y avait même la fameuse Brigitte, accompagnée de son mari ainsi que ces jumelles. Durant l’apéro, elle avait dû pas mal boire car elle riait très fort. Je remarquais qu’elle avait sali son corsage, et cela juste sur les seins. Une poitrine prête à déborder.
    
    - Toi ! Petite fripouille. Je te veux, malgré que tu pourrais être mon fils. Me murmura-t-elle après s‘être assurer que personne s‘intéresser à nous.
    
    D’un geste furtif, elle me toucha la verge à travers l‘étoffe du pantalon. Ses yeux brillaient d‘excitation. Puis elle posa ses lèvres contre ma joue. Une forte odeur de muscat se dégagea de sa bouche, cela me fis frémir. Puis son mari l’appela, pour lui informer qu’il fallait passer à table. Je lus de la déception dans ses yeux, quand elle s’est écartée de moi pour aller rejoindre sa moitié.
    
    Je fus placer à table à côté de Monique. Une petite boulotte toujours en train de rire. Qui habitée un quartier voisin. Manu disait que c’était un bon coup. Quand à sa voisine de table Jeanne, je la connaissais à peine. C’était une blonde qui jouait les princesses. Elle travaillait avec sa mère dans une fromagerie. Manu avait cherché à la sauter, sans y parvenir.
    
    La bonne odeur de viande grillée mettait tout le monde en appétit. Les cuisses de poulets et les ...
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