Jeux - Histoires de Sexe

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... flacon de gel lubrifiant qu’elle pose, fière, sur la table basse, prend le cendrier et vient se blottir dans mes bras, très câline, avec ses yeux de chaudasse.

— Uhuhu, si tu crois que je vais remettre ça, c’est mal barré.
— Oooh, le pauvre, regardez-moi cette petite queue toute molle. Je m’en vais me la sucer.
— Je te garantis rien.
— Je t’ai jamais sucé tout mou, je peux ?
— À ton avis ?
— Juste tu m’en laisses, hein, moi aussi j’ai envie de fumer.
— Bien sûr.

Elle s’installe à genoux sur le tapis, entre mes jambes. Se faire sucer en fumant, les amis, c’est quand même le super pied. Elle s’applique bien, elle sait que mon point faible, ce sont mes couilles et mon anus, qu’elle lèche en me branlant. Forcément, je ne mets pas longtemps à rebander, elle est contente. Je suis à la moitié du joint, alors je repose le cendrier, et attrape le gel, pour lire l’emballage. Tiens, tiens, il est déjà bien entamé.

— Dis-moi, Fafa, c’est ton gel à toi ?
— Bien sûr, quelle question !
— Comment ça se fait qu’il est déjà bien entamé ?
— Eh bééé… comment te dire… il m’a déjà servi.
— Nooon. Sérieux ?
— Eh bé, en fait, j’ai a-do-ré la première fois où tu m’as sodomisé avec tes doigts. Alors, dès le lendemain, je suis allé à la pharmacie, et depuis, quand j’en ai envie, bé, je l’ai utilisé, pardi !

Elle dit ça, décontractée, ça me surprendra toujours. Là, tout se rembobine dans ma tête : la première soirée au resto, sa semaine seule, ses vacances. Tout ce temps, elle ...

... s’explorait. J’imagine ma Fabienne se travailler le cul toute seule avant/après m’avoir vu, dans son lit, nue, habillée, en bikini… Je chope une érection de tous les diables.

— Oh oh oh ! Mais monsieur est tout énervé maintenant !
— Ben, je pensais à toi, tout ce temps, toute seule avec tes doigts dans ton fion !
— Ah ah ah s’il n’y avait que mes doigts !

Oh pu-tain. Je chasse dans ma tête toutes ces images d’objets qu’elle a pu se fourrer dans son trou de balle. Je lui file le cendrier et le briquet, et la balance sur le canapé. Elle écarte en grand ses jambes (merci la danse) avec un sourire ravi, et relève son bassin.

— Deux secondes. (Elle rallume le joint). Vas-y, bon appétit, mon chéri !

Sa chatte est trop tentante pour ne pas y goûter, elle ne sent quasiment plus par rapport à l’autre jour. J’adore la lécher, son clito est tout dur. Et puis cette ficelle qui sort, ça a un côté pervers super excitant. Mais j’oublie pas son anus. J’ai envie de la faire jouir avec ma langue, mais pas elle, bizarre. Au bout d’un moment, je lui dépose une noisette de gel, lubrifie bien mes doigts, et entreprends mon forage, elle s’ouvre sans problème. Comme elle veut, ça peut !

— Huuum, c’est bon de fumer pendant que tu me doigtes, ça m’ouvre bien le cul. Fais-moi comme la toute première fois, s’il te plaît.

Je forme alors le fameux cône index-majeur-annulaire, et je lui enfonce très doucement, très lentement, ça glisse bien. J’ai arrêté de la lécher pour jouir du spectacle ...