1. Jeux


    Datte: 17/11/2022, Catégories: fh, jeunes, amour, caresses, Oral fdanus, fsodo, initiatiq, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... m’aurais pas posé la question, et t’aurais fait ton affaire, je commence à te connaître, hein !
    
    On se couche en cuillère. Mais ça l’empêche pas de caler son derrière contre mon sexe, qui naturellement durcit. C’est pas pour ça qu’elle s’en va, bien au contraire.
    
    — Huuum, c’est bon de te sentir, bonne nuit.
    — Moi aussi j’aime bien. Bonne nuit à toi aussi.
    
    Je regarde sa nuque, ses épaules, longtemps. C’est dur de résister à l’envie de la caresser encore et encore. Je me retourne, et m’endors en chien de fusil.
    
    Le réveil sonne, elle râle, pas l’air d’être du matin. Juste un long bisou dans son cou, je la laisse flemmarder, et m’en vais seul au boulot après petit-déj et salle de bain. Elle n’a même pas daigné se lever cette marmotte. Je lui laisse la Play et ma boîte à bédo avec un post-it « bon entraînement, jeune padawan, à ce soir. »
    
    Journée normale de vendredi au taf, suffisamment de monde pour ne pas s’ennuyer, mais pas trop non plus pour bien s’en occuper. Je suis heureux de passer encore une soirée avec elle se soir, même sans sexe.
    
    Le soir, elle m’ouvre dans la même tenue que la veille, sauf qu’elle a troqué son top contre son soutien-gorge de bikini bordeaux, que je connais déjà. Elle s’est maquillée léger et son parfum sent le sous-bois, et n’a pas l’air d’avoir abusé sur la fumette. Je sais qu’elle a encore ses règles. Tiens, tiens, y a donc une chance que, si je me débrouille bien, on fasse des trucs inédits ce soir, miam.
    
    Je l’embrasse ...
    ... tendrement, et la suis dans sa cuisine. Elle tortille des fesses, hum, yabon. On prépare une grosse salade ensemble, elle tient à ce qu’on découpe ensemble, moi derrière elle, comme dans Ghost.
    
    — C’est pas un peu trop cucul la praline, Fafa ?
    — Pour la praline, eh bé, je sais pas.
    
    Et vas-y qu’elle écrase son beau derrière contre mon pubis, le message est limpide, plus besoin de clin d’œil. Mais qu’elle ne compte pas sur moi pour faire le premier pas. Si elle veut jouer, on va jouer : j’embrasse sa nuque et ses oreilles, mes mains sur ses hanches. Elle apprécie, sans aller plus loin. C’est un poker menteur délicieux auquel on joue, c’est bon ça. On sait tous les deux parfaitement ce qu’on va faire ce soir, on est seuls, on a le temps, y’a pas le feu.
    
    On mange dehors, avec un coup de rosé frais, et en ce début du mois d’août, on a les premières reines-claude en dessert. Sitôt débarrassé, je la laisse rouler un pétard – elle est nulle il est tout tordu –, on fume en la charriant sur ses compétences en roulage. Une fois consommé, je lance :
    
    — Bon, on va passer aux choses sérieuses maintenant, non ?
    — C’est à dire ? fait-elle avec un petit regard vicieux, doigt sur ses lèvres.
    — Tu t’es entraînée non, un p’tit Tekken ?
    — Si tu veux…
    
    Elle est manifestement déçue, frustrée, eh hé c’est le but ! D’autorité, elle prend Jack, le gros bourrin russe, je prends Michelle, l’américaine. Exprès je baisse parfois la garde pour qu’elle gagne, elle passe ses nerfs en enchaînant les ...
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