Initiation avec Sylvain - Histoires de Sexe

Initiation avec Sylvain

... assurance. Devant ma détermination, Sylvain se lève, j’avance et je mets nos deux sexes en contact et je laisse échapper un gémissement de plaisir.

— On peut se branler comme ça. Tu vois ?

Mes deux mains entourent nos deux sexes et entament un mouvement de va-et-vient. Sylvain se laisse faire et gémit à son tour. Je suis en sueur et j’enlève mon t-shirt. Je soulève le t-shirt de Sylvain sur ses pectoraux et je me colle à lui. Je sens la chaleur de sa peau contre la mienne et nos bites s’écrasent sur nos ventres et se touchent. Si on continue à bouger comme ça, je pourrais jouir, mais je ne veux pas que cela s’arrête. Je ne pense à plus rien, je suis une boule d’envie, de désir en feu. Je le prends par la main et l’amène vers le lit. Ravagé, je suppose, par la même intensité de désir, Sylvain se laisse complètement faire.

— Enlève ton t-shirt et ton pantalon, lui dis-je en quittant mon pantalon.

Je suis incapable de décrire exactement ce qui se passe en moi. Je suis comme un assoiffé qui découvre de l’eau et qui veut en boire à n’en plus finir. Maintenant Sylvain est couché sur le dos dans mon lit, son slip est baissé et sa queue raide repose sur son ventre. Je quitte mon boxer et, totalement nu, je monte sur le lit, je mets un genou de chaque côté de Sylvain et appuyé sur mes bras, je colle nos bas-ventres et je bouge. Nous sommes tous les deux en sueur, le torse de Sylvain est tout mouillé. D’un seul coup, je lâche mes bras et je m’effondre sur lui et enfouis ...

... ma tête au creux de son cou. On continue à bouger nos hanches comme on peut ; je frotte mes lèvres sur la peau de son cou puis je me mets carrément à le lécher. Je sens le sperme de Sylvain qui jaillit sur mon sexe et mon ventre et je jouis aussi. Tous les deux épuisés, nous nous endormons dans mon lit.

23 juin 2019, 9 h 30

Je me réveille et je vois Sylvain nu à mes côtés. Il est sur le côté et le dos tourné vers moi. Il dort encore. Je regarde son dos, légèrement musclé, des épaules jusqu’aux fesses. Sa peau m’excite, j’ai envie de la caresser et de la lécher. J’ai une forte érection. Il y a quelque chose qui a changé en moi, je me sens déterminé et sûr de moi, épanoui. Mes doigts frôlent puis caressent franchement sa nuque, ses épaules et le haut de son dos. Sylvain se réveille :

— Qu’est-ce que tu fais ? Ça me donne des frissons.
— Tant mieux, c’est bon.
— Arrête, on n’est pas des pédés.

J’ai envie de rire et lui dire que si, on est bien des pédés, mais je me retiens.

— Je m’en fous de ce qu’on est. Je sais seulement que c’est très bon. Tu me fais bander.

Je vois que Sylvain n’a pas trop envie de résister, car il reste dans la même position me laisse caresser son dos. Je ne sais pas si la force du plaisir qui désarme Sylvain ou s’il avait, caché au fond de lui les mêmes désirs que moi. J’avance et je me colle carrément contre son dos. Ma queue s’écrase contre ses fesses. J’entoure le corps nu de Sylvain de mes bras et le serre contre moi de toutes mes ...