1. Série « Les voisins » Épisode 6 : Catherine baisée par son propriétaire.


    Datte: 13/11/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Bonjour, je m’appelle Catherine, à ma majorité sexuelle, ce que je ne savais pas lorsque Gilbert m’avait dépucelée, c’était que six ans plus tard, il deviendrait mon mari. J'avais craqué pour lui depuis un moment et je savais bien qu’à la première occasion, je lui offrirais ma virginité. Nous étions amoureux, nous faisions l'amour dès que nous le pouvions. Nous venions tous les deux d’un milieu assez modeste, nous habitions le chef-lieu de canton dans la campagne, une bourgade de 1500 âmes où tout le monde se connaissait. La ville la plus proche se situait à plus de vingt kilomètres de là, à la fin des années soixante-dix, nos principales sorties étaient les bals du samedis soir, lors des fêtes foraines dans les villages voisins.
    
    Pendant deux ans nous sommes sortis ensemble, n’ayant qu’un an de plus que moi, Gilbert n’était pas un expert, nos rapports sexuels étaient tout à fait banals. Je m’en étais rendu compte l’été suivant, lorsque je suis partie en vacances en juillet avec mes parents, j’avais couché avec un homme de 25 ans qui m’avait fait découvrir ce qu’était un cunnilingus et une fellation. Ce fut la raison pour laquelle, à partir de ce moment, j’éprouvais une grande attirance pour le sexe pour le plus grand bonheur de mon chéri. Le dernier week-end du mois d’août, c’était la fête au village, il était coutume dans la famille de Gilbert d’organisé un repas familial.
    
    Ce fut à cette occasion que j’avais approché pour la première fois, René B, le maire de la ...
    ... commune, un petit cousin à sa mère, un riche notable qui faisait la pluie et le beau temps dans cette petite ville. Cet homme fier et hautain, divorcé deux fois, m’impressionnait. Il avait 57 ans, n’était pas très beau, trapu avec une belle bedaine, dégarni avec une grosse moustache et des sourcils noirs, épais en bataille. À cette époque, il se disait dans le village que c’était un prédateur-pervers qui abusaient de son pouvoir avec stratégie pour arriver à ses fins avec certaines femmes. Tous les administrés le savaient mais il était si puissant qu’ils avaient tous peur de lui.
    
    C’était la première fois que je venais dans cette famille, mais nos parents respectifs se connaissaient bien. Au début du repas, lorsque j’étais passée derrière lui pour m’installer à côté de mon petit copain, il m’avait passé la main aux fesses en disant devant toute l’assemblée : « Elle est belle la petite copine à Gilbert. » Tout le monde avait ri, j’étais très gênée puis deux heures plus tard, lorsque j’avais quitté la terrasse, où nous prenions le déjeuner, pour aller aux toilettes à l’intérieur de la maison, il m’avait suivi. Seule dans le couloir, il me poussa contre la porte, me mit une main sur la fesse et l’autre sous ma robe en plaquant son sexe contre ma cuisse. Puis il me fit une bise dans le cou avant de me dire : « Il a beaucoup de chance Gilbert. »
    
    J’avais 16 ? ans, j’avais peur de lui, je n’avais pas osé crier. Sa main toujours sur ma fesse, après m’avoir léché le cou avec sa langue ...
«1234...»