1. Féminisation presque forcée... (6)


    Datte: 12/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... n’étais qu’un tas de graisse ? Comment oses-tu me parler comme ça ! Tu es léger comme une plume et tu n’as pas plus de force qu’une fillette ! J’aurais pu t’écraser d’une seule main sans que tu ne puisses m’en empêcher. Quant à ta grosse bite, tout le monde voit bien que ton slip est loin d’être rempli ! Tu n’es qu’un pitoyable petit vermisseau qui gigote à mes pieds !
    
    L’homme s’était figé sous la charge verbale de la valkyrie. Elle avait une voix si puissante que la vitrine en avait tremblé ! Il sanglotait maintenant comme une fillette.
    
    Samantha revint s’asseoir à côté de moi. Les amis du jeune homme qui restait recroquevillé en position fœtale au sol se levèrent, ramassèrent leur ami qui était toujours en slip, et sortirent de la pizzéria. Samantha posa alors son énorme main sur ma petite cuisse, laissa ses doigts glisser entre mes jambes, puis remonter sous ma jupe pour m’attraper une fesse. Elle se pencha alors pour me susurrer à l’oreille:
    
    — Tu ne crains rien, ton petit cul de pucelle est à moi.
    
    Je jouissais intérieurement de ces quelques mots qui venaient comme refermer une cicatrice ouverte depuis toujours. J’avais encore en bouche le goût que m’avait laissé son baiser. Je n’avais jamais encore embrassé personne, et je ne pensais pas que ça se passerait habillé en minijupe et corsage de collégienne, à l’initiative d’une amazone qui ne m’avait pas laissé le choix, mais c’était si bon de se laisser posséder ainsi...
    
    Pas plus tôt les pizzas posées sur la ...
    ... table que les géantes les engloutir en un éclair. Mon petit estomac ne pouvait accumuler autant de nourriture et je ne mangeai que la moitié de la mienne. Clara se fit un plaisir de m’aider à la terminer. Samantha régla l’addition et nous sortîmes de la pizzéria. Il faisait toujours aussi froid et je grelottai dans mon manteau blanc. Samantha qui semblait insensible au vent glacial, prit ma main dans la sienne et m’invita à marcher. Je compris que j’étais officiellement sa “petite” amie. J’avais pour la première fois de ma vie une “copine”, mais dont j’étais aussi la “petite” copine, et “petite” dans tous les sens du terme. J’étais troublé, mais si heureux, et même, heureuse...
    
    Samantha et moi marchions en tête, et au tournant d’une rue où je n’étais jamais venu, un bruit sourd de musique électro se fit entendre. Nous étions arrivées. De nombreuses femmes, de tous les âges, de toutes les races et de tous les gabarits formaient de petits groupes, papotant, riant, fumant, s’embrassant. Samantha qui me tenait toujours par la main s’avança en direction de la porte, et tous les yeux se braquèrent cette fois sur moi ! J’entendais çà et là, des commentaires sur ma petite personne.
    
    — C’est sa nouvelle copine ?
    
    — Elle a fait dans la petite crevette cette fois !
    
    — Tu crois qu’elle est nue sous son manteau ?
    
    — Elle est vraiment très belle ! Elle a l’air d’avoir un magnifique petit cul !
    
    — Je lui boufferai bien la chatte à la poupée Barbie !
    
    Mes maîtresses avaient ...