1. Pendant le Covid


    Datte: 12/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds

    ...Nous étions comme dans un sous-marin. Coupés du monde, tout en étant dans le monde. C’était assez déroutant de savoir que nous pouvions voir les gens à l’extérieur mais qu’ils ne pouvaient pas nous voir. Nous étions trois : mon mari, moi, et Billy, le propriétaire de la voiture aux vitres teintées.
    
    Il portait un large t-shirt noir sur lequel reposait une longue chaîne grise métallique, et un jean large qui lui donnait une allure démodée ; ses cheveux étaient rasés courts, ses yeux bleus.
    
    Billy.-Comment trouvez-vous ma voiture ?
    
    Carlos.-Elle est belle et elle est propre. J’aime les fauteuils en cuir.
    
    Gabriella.-Ce n’est pas illégal de totalement teinter les vitres de sa voiture ?
    
    Billy.-Si, c’est illégal en principe ! Les vitres avant doivent laisser au minimum 70% de la lumière passer. Les vitres arrière peuvent être totalement noires. Je ne me suis jamais fait emmerder par la police à cause de cela, car il y a beaucoup de personnes qui ne respectent pas la législation.
    
    Nous nous garâmes sur le parking d’un centre commercial. Il était 15H, le parking restait moyennement occupé, des voitures venaient se garer environ toutes les trente secondes, elles traversaient les consommateurs chargés de marchandises qui retournaient vers leur véhicule.
    
    Mon amant du soir Billy, et moi, nous nous installâmes à l’arrière, tandis que mon mari s’installa à l’avant du véhicule. Il alluma son smartphone puis se mit à nous filmer.
    
    Carlos.-Cela te dérange ou pas que ...
    ... je filme ton visage ?
    
    Billy.-Ça ne me dérange pas du tout !
    
    J’enlevai mon string jaune. Je le donnai à mon mari pour qu’il me le garde bien au chaud devant. Me sachant nue sous ma robe en lin rouge, Billy posa sa main sur mon vagin. Ses doigts joints se mirent à frotter mon clitoris. Champêtre ! Mon excitation augmenta. À travers les vitres teintes les clients qui allaient faire leurs courses et ceux qui revenaient chariots pleins marchaient sur le parking à quelques mètres de nous, à portée de vue. Je subissais des attouchements pubis.
    
    Billy ôta sa chaîne, son t-shirt, son jean, tout. Il se retrouva complètement nu. La dextérité avec laquelle il s’était déshabillé dans ce petit espace clos de sa voiture indiquait qu’il avait l’habitude de le faire. Son pénis, non circoncis, était d’une taille supérieure. Je le saisis, je le masturbai lentement, faisant au fur et à mesure des montées et des descendes, durcir, grossir, de sorte qu’il se retrouva en érection ! Je me courbai : je pris en bouche le braquemart que je me mis à fellationner en boucle. Pendant que je le suçai, je l’entendais gémir de plaisir, et je sentais posé sur nous, le regard de mon mari et son objectif.
    
    Comme elle était bien dure et bien tendue, je m’assis sur ses cuisses. Je relevai le pan de ma robe pour que mon mari puisse filmer mes fesses, puis m’aidant de ma main, j’introduisis, en le guidant par mes doigts, le pénis de mon amant dans mon vagin brûlant. Je commençai d’abord lentement à le ...
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